Extraits du livre
Chapitre 2

Electrogravitation - Système propulsif.   Articles de Talbert

Le 20 novembre 1955, M Ansel E. Talbert, journaliste dans les domaines militaires et aéronautiques pour le New York Herald Tribune, commence une serie de trois articles traitant des recherches mondiales (alors d'actualité) sur le secret de la gravité. Ces recherches visent à produire de l'énergie pour propulser différents types d'avions et de vaisseaux spatiaux... Voici des extraits de l'article complet que constitue l'Annexe 1 du présent ouvrage:

"La conquête de la gravité: objectif des plus grands scientifiques américains".
Aujourd'hui, dans beaucoup de laboratoires scientifiques et de centres de recherche de pointe américains, on en est aux premières étapes d'un programme presque incroyable destiné à résoudre le secret de la gravité et de la gravitation universelle.
Les efforts actuels visant à comprendre la gravité et la gravitation universelle, autant à l'échelle subatomique qu'à l'échelle de l'univers, reçoivent l'appui de beaucoup de physiciens éminents des Etats-Unis.

Au nombre de ceux-ci, on compte Edward Teller de l'Université de Californie, à qui l'on doit principalement la mise au point de la bombe à hydrogène, J. Robert Oppenheimer, directeur de l'Institute for Advanced Study à Princeton, Freeman J. Dyson, physicien à l'Institute for Advanced Study à Princeton et John A. Wheeler, professeur de physique à l'Université de Princeton. Ce dernier a fait d'importantes contributions au premier projet américain de fission nucléaire".

Le 21 novembre 1955, le second article de M. Talbert donne des précisions encore plus fantastiques. Voici des extraits de la version intégrale que vous trouverez à l'Annexe 1:

"Des vitesses de milliers de kilomètres à l'heure sans la moindre secousses" Les scientifiques considèrent aujourd'hui la Terre comme un aimant géant. Bien des gens en Amérique, dans les industries de l'aviation et de l'électronique, sont enthousiastes à l'idée qu'il sera possible d'utiliser son champ magnétique et gravitationnel pour supporter d'étonnants véhicules volants qui n'auront pas besoin de l'air pour se sustenter.

On imagine des vaisseaux spatiaux capables d'accélérer en quelques secondes pour atteindre des vitesses de plusieurs milliers de kilomètres à l'heure et de changer subitement de direction à cette vitesse sans que les passagers ne soient soumis  à ce qu'on appelle la force G qui résulte de l'attraction qu'exerce la gravité. Ce programme est déjà en cours dans plusieurs laboratoires scientifiques des  plus réputés.
William P. Lear, inventeur et président du conseil d'administration de la Lear Inc., l'une des plus grandes firmes d'électronique spécialisée en aviation, étudie depuis des mois, avec ses principaux scientifiques et ingénieurs, les nouveaux développements et les nouvelles théories relatives à la gravité.
Il est convaincu qu'il sera possible de créer des champs électrogravitationnels artificiels dont la polarité pourra être dirigée pour annuler la gravité.

Toute la matière (masse) et les êtres humains placés dans ces champs en feraient partie. On pourra les régler de façon à accroître ou à diminuer le poids de tout objet situé à proximité. Ils ne seront pas influencés par la gravité de la Terre ni par celle d'aucun corps céleste.

Ce qui veut dire que si on se trouvait à bord d'un avion ou d'un vaisseau spatial antigravitationnel, transportant avec lui son propre champ gravitationnel, peu importe la vitesse à laquelle on accélèrerait ou changerait de direction, on ne le sentirait pas plus qu'on ne sent présentement la vitesse de la Terre.
Eugene M. Gluhareff, président de la Gluhareff Helicopter and Airplane Corp, de Manhattan Beach en Californie, a réalisé différentes études  théoriques sur la conception de véhicules ronds ou en forme de soucoupes pour voyager dans l'espace.

Le lecteur sera peut-être aussi intéressé de savoir que vers 1969-1970, j'ai vu à la télévision américaine le regretté William P. Lear faire une déclaration au cours d'une émission diffusée en plein jour à la totalité du pays. Il fit cette déclaration en réponse à une question du maître de cérémonie qui voulait savoir ce que M. Lear prévoyait pour les prochains vingt ans en fait de nouvelles technologies. M. Lear répondit qu'on pourrait, disons, entrer dans une cabine de "voyage" à New York, un peu comme une cabine téléphonique, déposer son titre de transport, appuyer sur un bouton et sortir de l'autre côté à San Francisco après avoir été téléporté à travers l'Amérique en quelques secondes ! L'auditoire s'est aussitôt mis à se moquer de lui, preuve accablante de l'ignorance du grand public. M. Lear resta bouche bée devant ces agissements, tellement il était stupéfait. Il a dû se sentir douloureusement malheureux et seul lorsqu'il s'est rendu compte de l'ampleur du gouffre qui séparait l'auditoire des réalités dont il était déjà témoin dans les laboratoires...

Le 22 novembre 1955, voici des extraits du dernier article de Ansel Talbert, dont on trouvera, encore une fois, la version intégrale (pour le plus grand intérêt du public) à l'Annexe 1 :

"Je (Grover Loening, auparavant conseiller scientifique spécial pour l'armée de l'air américaine sur la conception et la construction d'avions) crois fermement qu'avant longtemps, l'homme aura acquis la possibilité de construire un mécanisme électromagnétique antigravifique qui fonctionne.

George S. Trimble, jeune scientifique brillant qui dirige la nouvelle division de conception avancée de la Martin Aircraft à Baltimore et aussi membre du sous-comité sur l'aérodynamisme de grande vitesse du National Advisory Committee for Aeronautics, crois qu'on pourrait atteindre ce but assez rapidement si les ressources suffisantes et l'appui nécessaire étaient accordés au programme.

"Je crois que nous pourrions faire le travail dans presque le même temps qu'il a fallu pour construire la première bombe atomique si un nombre suffisant de cerveaux scientifiques se mettaient à penser simultanément à une solution et travaillaient dans ce sens", dit-il.

Dudley Clarke, président de la Clarke Electronics Laboratories de Palm Springs, en Californie, il y a des années, a travaillé sous les ordres de Charles Steinmetz, (le génie de l'électricité et des mathématiques des années 1930 au service de la General Electric Company) est certain que l'on réussira à maîtriser la gravitation plus tôt que ne le croient certains scientifiques retranchés dans leur tour d'ivoire.

M. Clarke souligne que la force de gravité est suffisamment puissante pour générer plusieurs milliers de fois plus d'électricité que n'en génèrent les chutes du Niagara et tout autre centrale hydro-électrique du monde, si on réussi à la maîtriser. Cet événement qui ne saurait tarder, soutient-il, rendra possible la fabrication d'unités d'énergie antigravifique que l'on pourra acheter pour quelques centaines de dollars.
Ces unités fourniraient toute la chaleur et l'électricité dont une famille a besoin pour une période illimitée."

Interavia : la fuite

Peut-on croire sérieusement que tous ces hommes étaient des rêveurs illusionnés n'ayant aucun fait concret sur lesquels appuyer leurs dires à ce moment ?...
Une histoire de science-fiction antérieure aux articles dont il est question plus haut apporte un autre éclairage à tout ceci. Ecrit par Raymond F. Jones, pour le magazine Astounding Science Fiction, l'histoire, intitulée Noise Level (niveau de bruit), décrit comment les savants américains et les dirigeants militaires avaient regroupé les meilleurs cerveaux du pays pour les obliger à developper l'antigravitation qu'un inventeur inconnu avait (supposément) déjà réalisée, mais qui venait de périr par la destruction de son invention au cours d'une démonstration de son procédé aux autorités.
Toute l'histoire de l'inventeur inconnu n'était qu'une ruse pour dissiper de l'esprit de la brochette de savants le syndrome du "c'est impossible". En convainquant les savants que quelqu'un d'autre avait déjà réussi, ils finirent par leur faire mettre au point un disque antigravitationnel grossier, mais fonctionnel. Les articles du Tribune auraient-ils
servi à cette fin ?... Si c'est bien le cas, la ruse s'est poursuivie en 1956 quand la revue Interavia publia l'article intitulé : "Vers la locomotion aérienne... sans contrainte et sans poids" dans le volume XI, n° 5, de l'auteur américain Intel, à Washington, 23/03/1956
commence ainsi :
Les recherches portant sur "l'électrogravitativité" et tendant à la découverte de l'origine de la pesanteur et des moyens de la maîtriser ont atteint un stade où commencent à se faire jour des conséquences d'une immense portée pour l'humanité toute entière. Et, sur la voie du progrès humain et de la civilisation, une notion entièrement nouvelle de l'électrophysique est sur le point d'être ajoutée aux diverses branches de la connaissance.

Des recherches relatives à la pésanteur ont été entreprises un peu partout dans le monde. Quelques unes de ces recherches se poursuivent depuis trente ans. La plupart sont bien plus récentes. Certaines sont purement théoriques. Certaines des études, qui s'attachent aux isotopes gravitatifs, aux phénomènes électriques et à la statistique de la masse sont essentiellement empiriques. (voir Annexe 3 intitulée : L'état de la science de la gravitation) publié par Gravity rand de Londres en 1956, pour les détails des façons empiriques d'aborder la question)

"Certaines des entreprises engagées dans les études de cette catégorie sont la Lear Inc; la Gluhareff helicopter and Airplane Corp; la Glenn L. Martin Co; la Sperry-Rand Corp; la Bell Aircraft; Clarke Electronics Laboratories; U.S. General Electric Company."

L'article continue en disant que les différents essais empiriques sur des métaux comme l'acier, le barium, l'aluminium, etc.; prouvaient jusque-là que l'on pouvait réduire le poids des métaux sans en changer la masse.

En fait, il paraissait que le "processus d'énergisation" pouvait produire un rapport négatif du poids-masse! Les réductions de poids à l'état stable avaient déjà permis de porter certains matériaux à 70% de leur poids original.
Les travaux de Townsend T. Brown sur ses disques électrogravifiques étaient (à l'époque) le résultat de 30 années de recherche selon l'auteur. Il avait réussi à construire des profils aérodynamiques en forme de disque propulsés à l'électricité qu'il avait brevetés aux Etats-Unis. L'extrait suivant de cet article d'Interavia illustre jusqu'où les gouvernements concernés acceptaient de discuter ouvertement de leurs réalisations :

"Un champ gravitatif localisé utilisé pour la production d'une force pondéramotrice a été créé au laboratoire. Des disques matériels de 60 cm de diamètre, incorporant une sorte de condensateur électrique simple à deux lames chargées à 50 kilovolts et d'une capacité totale continue de 50 watts, ont pu se déplacer à la vitesse de 5 m / sec le long d'une trajectoire circulaire de 6 m de diamètre. Des disques de 90 cm de diamètre ont été réalisés par la suite; ils se sont déplacés le long d'une trajectoire de 15 m de diamètre sous une charge de 150 kilovolts, avec des résultats tellement impressionnants
qu'ils sont tenus secrets. Des expériences similaires ont été éxécutées dans le vide avec un rendement tel qu'il est seulement possible de les qualifier de stupéfiants. Des travaux sont en cours en vue de la réalisation d'une génératrice à jet de flammes susceptible de développer une tension pouvant atteindre 15 000 000 de volts."

A présent, retournons en avril 1955, au moment où le magazine Scientific American publia un article traitant de l'histoire et des développements dans le domaine de l'électrostatique. Il présentait un exposé des plus instructifs sur les effets du vide et de la haute tension sur les forces mécaniques à l'intérieur des atomes. On y traitait des recherches du professeur John G. Trump (de la section du génie électrique du M.I.T.)
sur les techniques de production d'énergie électrostatique :
"Le professeur Trump démontre comment la capacité de génération des machines électrostatiques peut être augmentée. Considérons deux plaques métalliques de 100 pouces carré de surface (645 cm2) placées face à face et séparées par un isolant. Si une tension produisant un champ électrique de 300 volts par cm est appliqué entre les plaques, elles s'attireront l'une l'autre avec une force de 1/2000 de livre (0,0002267 kg).
Si on porte le champ à 30 000 volts par cm, l'attraction passera à 1/2 livre (0,2267 kg)
ce qui veut dire que l'on a multiplié la force par 1000 en ne multipliant la tension que par 100 ! Maintenant, si on place les plaques dans un vide poussé, qui est un bon isolant, bien que difficile à maintenir, et que l'on porte le champ à 3 000 000 de volts par cm.
La force d'attraction sautera alors à 5700 livres (2585 kg)!... ce qui veut dire qu'on a multiplié la dernière force par 11 400 en ne multipliant la tension que par 100 encore!...

Retournons maintenant à l'article d'Interavia :

"La force ainsi développée, susceptible d'être accrue exponentiellement au point d'être en mesure de propulser des véhicules transportant des passagers à travers l'air (ou l'espace) à des vitesses extrêmement élevées, fait actuellement l'objet d'études concentrées dans plusieurs pays. Sa réalisation permettra d'éliminer la plupart des difficultés d'ordre matériel auxquelles donne lieu la construction des avions à grande vitesse. Considération importante, le champ gravitatif qui produit la force propulsive fondamentale réagit simultanément sur toute matière se trouvant dans sa zone d'influence. Il ne s'agit pas d'une force physique appliquée initialement sur un point déterminé du véhicule et qui doit donc être transmise à tous les autres points. Il s'agit d'un champ électrogravitatif agissant sur tous les éléments simultanément."

Pour autant que l'on ait recours à l'idée de simultanéité, il serait plus juste de déclarer que des changements subits dans la direction du champ transmettent rapidement le moment inertiel à toutes les parties de l'appareil, de sorte que le rebondissement élastique de sa structure atomique ne se trouve pas épuisé au point de la fatigue structurale.

Remarque : Je présente toutes mes excuses au lecteur qui a trouvé ce qui précède trop complexe. Vous comprendrez qu'il n'y a pas d'autre moyen pour étayer les faits au point de convaincre les sceptiques irréductibles. Si le lecteur estime que le présent chapitre commence à être trop compliqué, qu'il n'hésite pas à le sauter, car son objet principal est de démontrer que les "soucoupes volantes électriques" sont, au moins, fabriquées sur Terre, si elles ne le sont pas ailleurs...

Selon l'article d'Interavia, l'utilisation du système de champ électrique pour propulser un vaisseau en forme de disque ou de soucoupe lui permettrait d'accélérer à des vitesses de milliers de km/h, de s'arrêter et de changer de direction presque instantanément.
On pourrait réaliser ces manoeuvres facilement en modifiant l'intensité, la polarité et la direction de la charge du champ. De plus, l'article donnait le détail de certaines autres implications de la conquête de la gravité par l'homme :

"Dans le cas des automobiles, des trains, des navires, les difficultés qu'implique la transmission de l'énergie du moteur aux roues ou hélices cesseront tout simplement d'exister. La construction des ponts, des immeubles, etc., se trouvera considérablement simplifiée par le recours à l'annihilation induite du poids. D'autres aspects des travaux entrepris suggèrent la possibilité d'une action sur la pousse des végétaux, de nouvelles techniques thérapeutiques, de systèmes de chauffage permanent sans combustible à l'intention des habitations et établissements industriels, de nouvelles sources d'énergie industrielle, de nouvelles méthodes de construction, d'un secteur entièrement nouveau de la chimie. Cette nouvelle science offre dans le domaine des communications des possibilités qui confondent l'imagination. Il existe apparemment dans l'éther une catégorie insoupçonnée d'ondes électriques identiques fondamentalement aux ondes électromagnétiques de la radio. Des ondes électrogravitatives ont été produites et émises à travers des couches concentriques constituées par les matériaux de blindage électromagnétique et électrostatique les plus efficaces, sans aucune perte apparente de puissance."
 

Gravitation : le point

En décembre 1956, la Gravity Rand Ltd. de Londres publia un document intitulé The Gravitics Situation (l'état de la science de la gravitation). La première page didait ceci :
"Thème de la science (de la gravité) pour la période allant de 1956 à 1970 : découvertes inopinée". On y cita aussi l'opinion d'Albert Einstein sur la gravité :

"Il n'est pas vain d'espérer un jour acquérir une connaissance plus claire des processus de la gravitation, car la généralité et le détachement extrêmes de la théorie de la relativité peuvent être éclairés par l'étude particulière d'un mécanisme précis."

The gravitics situation est un document que le lecteur ne pourra pas obtenir sans s'armer d'une inépuisable patience ou sans une chance inouïe. Il met le doigt sur tellement de centres nerveux du corps scientifiques qui engendra l'antigravité, que le lecteur éclairé n'aura aucun doute que : l'humanité a mis au point l'antigravité. C'est pourquoi, ce document a été inséré intégralement pour l'intérêt du public.

Pour bien apprécier les implications de ce document, il faut le lire en entier.
Toutefois, certaines phrases-clés dans ces pages de texte technique ont été choisies pour donner un bref aperçu de son objet. Les voici :

"Aux Etats-Unis, on a étudié cette question et un programme en main est en mesure d'assurer que la mise au point de disques de grandes dimensions continuera.
Le gouvernement américain appuie ce projet, mais il ne sera mené qu'à petite échelle.
L'acceptation du projet fait suite à la suggestion originale de Brown qui fut incorporée au Projet Winterhaven. Ce projet recommandait que des efforts importants soient concentrés sur l'électrogravitation : basée sur le principe de ses disques."

"Les objectifs furent réécrits dans un nouveau rapport qui serait fondé sur de nouvelles idées autres que celles proposées dans le Winterhaven et qui mènerait à des brevets qui n'ont pas encore été publiés, ce qui constitue la base de la politique américaine actuelle. Tous ne sont pas d'accord pour dire que cette recherche pourrait être accélérée si on y mettait plus d'argent, mais l'impression à la Gravity Rand est que la base de l'industrie est peut-être plus que suffisamment solide. Déjà, des sociétés se spécialisent dans l'évolution des composantes particulières d'un disque électrogravifique. Cela implique que la science est au même point que les ICBM (ces missiles balistiques intercontinentaux), soit qu'aucune autre découverte n'est nécessaire; il faut seulement un développement intensif des techniques d'ingénieur."

"La puissance d'un dispositif destiné à absorber les forces électrostatiques qui assurent la cohésion de l'atome est un sous-produit destructif qui revêt une grande importance au niveau militaire. Dans des travaux non publiés, la Gravity Rand a décrit quels sont les effets possibles d'un tel dispositif pour des fins de démolition."

"Encore une fois, le principe en soit fonctionnera également dans le vide. Les soucoupes de Townsend Brown pouvaient déjà voler dans le vide, mais les pièces de soutien doivent aussi fonctionner dans le vide. En pratique, elles tendent à causer des problèmes, car tout commes les turbines à gaz, le mauvais fonctionnement est proportionnel à l'altitude de vol."

Le professeur F. Mozer a fourni un brillant traité sur l'existence des particules de masse négative et sur l'utilisation qu'on pourrait en faire dans la construction de corps de gravité neutre.
Certains seront peut-être particulièrement intéressés par le court texte de Deser et Arnowitt, il est intitulé "Un lien entre la gravitation et l'énergie nucléaire" (A link between gravitation and nuclear energy). On y fait appel aux structures habituelles que l'on retrouve dans la relativité générale d'Einstein comme base d'un "tenseur de création"
(comme ils l'appellent) servant à convertir l'énergie gravitationnelle en énergie nucléaire.
Leurs équations de champ sont ardues et ne sont pas faciles à utiliser : malgré tout, elles constituent un aspect intéressant pour certains...

Ce document incroyable a été compilé en 1956 ! Vraiment, pouvons-nous douter que ces renseignements aient été dépassés par des développements encore plus incroyables au cours des 44 dernières années ?...
 

  Extraits du livre

Free Web Hosting