Extraits du livre

                                                              Chapitre 5

                                                 En guerre météorologique

Plusieurs contributions incroyables que Tesla fit au monde de la physique restent encore à révéler au pubic... pour des raisons de sécurité. Si seulement il avait su à quelle utilisation horrible certaines de ses idées les plus prometteuses allaient être dévolues, on se demande s'il les aurait seulement énoncées. Il est certain que la Russie et les Etats-Unis se servent de certaines de ses idées comme instrument de guerre pour produire des phénomènes météorologiques dirigés.

En 1976, au cours du mois d'octobre, un nouveau type de signal de brouillage radio et radar fit son apparition. On établit par triangulation que le signal provenait de Riga. On blâma alors, à juste titre, les Russes qui s'excusèrent abondamment pour quelques essais sur basses fréquences. Ces basses fréquences se situaient dans la plage des 143 Hz... (cela me rappelle quelque chose...). Presque à la même époque, selon un rapport d'Edward Campbell
du London Evening News en juin 1978, "les Russes avaient fait la chasse dans tout le pays à toute personne qui avait connu ou rencontré Tesla."

Selon cette même source, "Au début de 1977, les météorologues signalèrent un effet bloquant extraordinaire qui s'étendait le long de la côte ouest de l'Amérique ainsi qu'un rideau de fer semblable qui s'étendait sur la côte est, de même que le long de la frontière soviético-polonaise jusqu'en Finlande. Ces blocages arrêtaient la circulation normale du temps (au sens météorologique du terme).

Les savants tracassés, furent  alarmés lorsqu'ils découvrirent que chacune de ces barrières du climat mondial semblait être associée à d'immenses ondes stationnaires d'énergie électromagnétique... Entre-temps, la météo mondiale fut sens dessus-dessous.
La neige tomba à Miami, des inondations balayèrent l'Europe"... Et les systèmes de surveillances des sous-marins nucléaires se détraqua après que ceux des satellites d'observation américains furent détruits par un faisceau électronique.

En décembre 1974, Howard Benedict de l'Associated Press à Washington, avait écrit un rapport sur le sujet de la guerre météorologique intitulé : The Weather, As a Secret Weapon? (Le temps, Une arme secrète?)
L'article de Benedict disait que, bien que les porte-parole américains et russes aient nié l'existence de telles armes météorologiques à ce moment, la recherche était en cours.
Que pouvaient-ils dire d'autre?... "Nous possédons des super armes météorologiques?"
On s'imagine facilement quelle aurait été la réaction de la masse... La moindre anormalité du temps aurait fait dire "c'est la guerre!"

La position officielle revient essentiellement à ceci : l'on produit des armes en se basant sur le développement probable de la même arme par les Russes. On se demande de quelle sorte d'arme ils parlaient? L'article de Benedict signale :

Les recherches actuelles du Pentagone, au coût de 1,52 millions de dollars par an, se limitent à fabriquer la pluie, à la supprimer et à disperser la grêle et le brouillard.

En octobre 1974, l'Union Soviétique présenta une résolution aux Nations Unies demandant la tenue de la conférence de Genève sur le désarmement en vue de proscrire les recherches sur le climat pour des utilisations militaires.

L'ambassadeur soviétique, M. Jacobs Malik, déclara que les savants en étaient venus à la conclusion qu'un arsenal météorologique de l'avenir pourrait comprendre la possibilité de créer des champs acoustiques à la surface de la mer et de l'océan pour combattre des navires seuls ou une armada entière.
Son article se poursuivait en disant qu'en ensemençant les nuages d'une zone située à quelques milliers de km en amont d'unpays déterminé, on pourrait provoquer dans ce pays de graves sécheresses pendant plusieurs années... Incroyable! On imagine les observations après un tel désastre...

Son rapport faisait aussi état de la modification possible de la couche d'ozone (qui se trouve à environ 40 à 50 km d'altitude) par des moyens chimiques et physiques pour permettre le bombardement par un intense rayonnement ultraviolet de certaines zones de la planète. L'une des possibilités les plus intéressantes dont traite son article, fut suggérée par M. Gordon McDonald, géophysicien et astrophysicien de réputation internationale, du
Dartmouth College :

"Le dégagement d'énergie thermique en Arctique ou en Antarctique (peut-être par des explosions nucléaires provoquées à la base d'une couche de glace) pourrait déclencher le glissement vers l'extérieur de la plaque de glace, dont l'effet immédiat serait de créer des tsunamis massifs (raz de marée) qui pourraient détruire complètement les régions côtières."
De plus, selon cette même source, M. McDonald exposa un concept dans lequel des oscillations électriques amplifiées dans l'atmosphère terrestre pourraient servir à affaiblir le cerveau humain. Il dit que les recherches démontrent que de faibles champs électriques oscillants peuvent influencer le cerveau en causant une petite, mais mesurable, réduction du rendement d'une personne. Des recherches sur la foudre ont démontré qu'il serait possible de maîtriser cette dernière pour créer de telles oscillations à basse fréquence dans l'ionosphère! ( Voir sur ce site : le projet H.A.A.R.P.)

Le lecteur initié a certainement relevé plusieurs points importants dans ces pages :

1) l'utilisation de champs TBF à haute tension dans l'ionosphère,
2) l'échauffement de la calotte glaciaire,
3) la production sélective de la foudre... Le premier point s'explique de lui-même, car il a déjà été abordé dans le chapitre portant sur Tesla et sur le projet H.A.A.R.P.
Le second point peut ne pas avoir été aussi évident. nous allons donc l'expliciter.

Lorsqu'un champ TBF comme celui de Tesla est synthonisé sur une fréquence qui crée un cycle complet à l'antipode de la tour d'émission, le thermodynamisme de l'échange d'énergie est uniforme aux deux pôles. Toutefois, lorsqu'une fréquence utilisée complète un cycle au pôle émetteur, elle produit un immense refroidissement à ce pôle et un réchauffement intense à l'antipode! Pourrait-on employer ce moyen pour faire fondre une calotte glaciaire en vue d'inonder les côtes russes ou canadiennes? Est-ce pour cette raison que l'Amérique et la Russie ont installé des stations TBF au pôle Sud?...
On doit se poser la question...

Le troisième point est relié au premier. Un sous-produit de la production de ces champs résonnants TBf à haute tension est que l'on peut diriger des coups de foudre sur des cibles déterminées de l'autre côté de la Terre!...

Le lecteur sera assurément impressionné de savoir que l'ébauche de traité présenté à la Conférence de Genève d'août 1975 sur le désarmement international, par les délégués des Etats-Unis et de l'U.R.S.S., contenait l'interdiction de 19 catastrophes climatiques artificielles. On y comptait plus particulièrement : le déclenchement d'avalanches et de glissements de terrain; l'éveil des volcans; le déclenchement de tremblements de terre et de raz de marée; le contrôle de la foudre; le guidage des ouragans ou des cyclones sur des cibles stratégiques (les Australiens devraient se demander si oui ou non le comportement inhabituel du Cyclone Tracy à Darwin était lié de quelque manière à une bataille des Titans...); la fonte des calottes glaciaires pour inonder les états côtiers avoisinants; le changement de direction des rivières; la production de brouillard, de grêle et de pluie; et la destruction délibérée de parties de la couche d'ozone terrestre.

Quel est le véritable objet de l'Opération Arche de Noé du Président Carter...
(Président des Etats-Unis de 1977 à 1981.)

  Extraits du livre
 

Free Web Hosting