Ci-dessous un extrait de la lettre de Robert E. Willner ainsi que les commentaires d'une journaliste. Ces documents sont extraits du livre "L'ultime supercherie" aux Ed. Soleil.
Robert E. Willner, M.D., Ph. D. L'ultime supercherie
416 SAN YSIDRO BOULEVARD SUITE-633, SAN YSIDRO, CA 92173, U.S.A.
Tel : (619) 428-5923
Cher confrère,
Mon intime conviction est que la plupart d'entre vous, tout comme moi,
avez choisi le domaine de la médecine à cause d'un intense
désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants.
Je voyais la médecine comme une profession basée sur
la science. La compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses
honnêtement méritées le respect, l'honneur et une vie
relativement aisée. Je croyais que c'était une profession
qui favorisait la pensée indépendante, la créativité
et l'innovation, et était profondément ancrée dans
l'intégrité. J'étais naïvement persuadé
que la médecine s'élevait au-dessus de l'avarice, de
la politique, de la tromperie et de l'esprit de vengeance. Durant les trente-cinq
années au long desquelles j'ai pratiqué la médecine,
j'ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins
dévoués ainsi que l'honneur de servir la profession en tant
que conférencier et président d'associations, de sociétés,
de comités médicaux et d'associations de personnel hospitalier.
Tout comme beaucoup d'entre vous, j'ai assisté aux incroyables
progrès technologiques.
Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée
d'une bureaucratie et d'un contrôle étouffants, souvent dans
nos propres rangs, de même qu'au niveau du gouvernement. Les conséquences
inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté
de pensée et d'expression, la suppression de l'innovation et la
tyrannie d'un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de
leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur
tour des maux encore plus grands : l'occasion de perpétrer une tromperie
en toute impunité, de s'opposer à la vérification,
de défier la contestation et de faire machine arrière au
progrès.
Une parodie de la science et de la médecine s'est mise en place
ces dix dernières années, d'une telle dimension et tellement
incroyable, que votre première impulsion sera d'écarter toute
critique.
Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu'ici,
ils ont réussi. A cause de la confiance inhérente que nous
avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément
entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux
jargon scientifique avec lequel beaucoup d'entre nous n'étaient
pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA, la soi-disant
"Epidémie du Siècle".
JE VOUS EN PRIE, LISEZ "L'ULTIME SUPERCHERIE" (pourquoi le sexe et le virus ne sont pas la cause du Sida). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.
Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Les noms des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lisent comme un "Who's Who" de la science. Ils comprennent :
Le Dr Peter H. Duesberg,
Professeur de Biologie Moléculaire
à l'Université de Californie, Berkeley, Californie; autorité
internationale en matière de rétrovirus; membre de l'Académie
Nationale des Sciences,
Le Dr Charles A. Thomas,
Jr., Biologiste à Harvard, fondateur
du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l'Hypothèse
VIH-SIDA.
Le Dr Kary Mullis,
Biochimiste : inventeur du RCP, la réaction
en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus
précis de la présence de virus.
Le Dr Robert Root-Bernstein,
Professeur de Physiologie, Université
de l'Etat du Michigan, une des principales autorités en matière
de SIDA.
Le Dr Gordon Stewart,
Professeur Emérité de Santé
Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l'Organisation
Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
Le Dr Joseph Sonnabend,
pionnier de la recherche sur le SIDA,
fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA, et bien d'autres
!
Leur nombre dépasse la centaine à l'heure où j'écris
ces lignes ! La réputation de la Médecine Américaine
a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes
et cupides, qui exercent
un pouvoir surprenant parce qu'ils ont impliqué dans leur supercherie
des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins,
avons été privés d'une tribune libre impartiale
parce que l'accès aux réunions médicales a été
refusé aux détracteurs. C'est à présent aux
médecins et à leurs patients d'exiger qu'une enquête
complète et publique soit ouverte par le Congrès des Etats-Unis,
afin que l'opposition puisse être entendue. Cette action servira
à disculper la médecine de toute complicité dans cette
ingnominieuse affaire.
Votre respectueux confrère
Robert E. Willner, M.D., Ph. D.
AVERTISSEMENT !
Le président Eisenhower, lors de son discour d'adieu à
la nation, nous mit en garde contre le "complexe militaro-industriel".
La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore
plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie
"Le
complexe médico-
industriel"
. Cette alliance résiste et détruit
avec acharnement toute opposition à ses concepts erronés
et restrictifs de la maladie et de sa cause.
Cette conspiration de l'arrogance, de l'ignorance et de la cupidité
coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200
milliards de dollars.
La supercherie du SIDA n'est qu'un exemple de cette catastrophe.
Un vaccin sera-t-il développé et en voulons-nous vraiment un ?
C'est avec grand émoi que je contemple l'apparition d'un vaccin
du SIDA. Cette déclaration doit vous choquer, aussi vais-je m'en
expliquer. Bien que cela ne soit généralement pas connu du
public,
la vaccination est une question controversée chez les chercheurs
scientifiques depuis de nombreuses décennies. La vérité
au sujet de la vaccination a été efficacement dissimulée,
ou du moins présentée seulement de façon partielle,
même à la profession médicale. William F. Koch, scientifique
de renommée mondiale dans le domaine de la recherche sur le cancer
et les virus, écrit dans son texte
"Introduction à la Thérapie Radicale Libre" (1961) :
"La capsule protéique (du virus) possède des pouvoirs antigéniques
qui produisent des réactions immunologiques spécifiques ainsi
que des réactions sérologiques. C'est la partie convertible
en un vaccin utilisé pour provoquer des réactions
immunologiques chez le patient. Il n'y a pas de réaction immunologique
à la partie nucléoprotéique,
bien que ce soit la partie qui provoque la pathologie". Il répète
ensuite : "les vaccins contre un virus
spécifique n'immunisent pas contre la nucléoprotéine
qui est le véritable pathogène, spécialement après
qu'elle ait pénétré et se soit intégrée
dans la cellule-hôte, aussi parler de guérison... est-il une
perte de temps. Même la prévention de l'infection virale par
un vaccin rencontre l'opposition statistique la plus forte depuis les vaccinations
à grande échelle contre la variole et la polio (vaccin de
Salk). D'après ce que l'on sait de la structure des vaccins, les
statistiques semblent logiques lorsqu'
elles montrent que les cas de paralysie dûs à la polio
augmentent tant du point de vue de la fréquence
que du point de vue de la mortalité de par l'usage du vaccin."
Il présente ensuite le nombre de cas de polio signalés dans
diverses régions des Etats-Unis et du Canada avant et après
l'utilisation du vaccin de Salk. Regardons cela :
Région
Nombre de cas par an
Nombre de cas par an
concernée
avant la vaccination
après la vaccination
____________________________________________________________________________
Montréal
moins de 100 cas
521 cas, 27 morts
Ottawa
64 cas, 7 morts
455 cas, 41 morts
(Dans tout le Canada, il y eut 7 fois plus de cas de paralysie, accompagnés
d'un plus grand
taux de mortalité, après l'utilisation du vaccin.)
Detroit
226 cas
697 cas
Etats-Unis
5987 cas
8531 cas
3090 paralysés
5661 paralysés
(En Caroline du Nord et au Tennessee, où la vaccination était obligatoire, il y eut une augmentation de 400%.)
Koch commente ensuite son expérience avec le choléra du
porc et la rage à Cuba et en Amérique du Sud. "Il devrait
être dit que chaque épidémie de maladie virale traitée...
a suivi la vaccination de quelques mois, alors que l'on aurait dû
obtenir une protection au lieu d'une épidémie."
Au sujet de la variole, Koch cite les Philippines, où l'armée
américaine obligea 3.295.376 indigènes
à se faire vacciner en 1918, "alors qu'une épidémie
se préparait" et que seuls des cas légers et sporadiques
se déclaraient. Après avoir été vaccinées,
47.
369 personnes attrapèrent la variole et 16. 477 en moururent.
En 1919, l'armée vaccina 7.670.252 personnes, ce qui eut pour résultat
65.180 cas de variole et 44.408 décès.
Dès lors, la question évidente se pose de savoir pourquoi
il y a eu une diminution des maladies contre lesquelles nous nous vaccinons.
C'est précisément là que se situe la controverse.
Les opposants soutiennent que la plupart des épidémies virales
étaient déjà en diminution lorsque l'on eut recours
aux vaccins et que la raison principale de cette diminution était
l'énorme amélioration du système sanitaire et de l'hygiène.
Ce sont là des arguments pratiques et solides en considération
de nos connaissances approfondies en matière d'épidémiologie
et de transmissions. C'est toutefois très difficile à prouver.
Presque toutes les maladies sévissent plus là où le
système sanitaire, l'hygiène et la nutrition laissent à
désirer. Il est également soutenu que les statistiques sont
souvent truquées par le gouvernement, comme c'est le cas actuellement
pour la soi-disant épidémie de SIDA. dans le cas de la polio,
par exemple, plusieurs maladies furent débaptisées et placées
sous la même bannière.
Lorsque le vaccin fut introduit, les Centres pour le Contrôle
des Maladies publièrent de nouvelles directives de diagnostic qui
reléguaient ce qui aurait été un diagnostic de polio
à la méningite des temps d'avant la polio.