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DOSSIER "LA GRANDE VALSE DES VACCINATIONS OU LE REGNE DES SAVANTS FOUS" du Dr Alain Scohy

La Guerre du Golfe, pendant l'hiver 1991 aurait dû nous servir de leçon.
50.000 GI américains environ sont envoyés là-bas et subissent au moins 4 vaccins, dont l'hépatite A, probablement l'hépatite B, et d'autres plus rares (Botulisme et Charbon). Les deux vaccins contre l'hépatite A et B sont préparés par le génie génétique. Ils subissent certes sur place une pollution importante. Mais rien n'a été signalé parmi les autochtones à ce que je sache.
Ils ont pris un médicament dur, le bromure de pyridostigmine (MESTINON). Mais peut-il à lui seul engendrer une teratogenèse ? Cela n'est pas mentionné dans le Vidal (aucune malformation notée chez les enfants des femmes traitées pendant leur grossesse avec ce médicament).
20.000 anciens soldats sont malades aujourd'hui. 2000 sont décédés.
Surtout, il y a eu en 3 ans 2000 naissances  d'enfants gravement anormaux : nanisme,
atrophie d'une moitié du corps, hydrocéphalie, mongolisme...
(Cf. ZONE INTERDITE / M6 - mai 1995)
Il en est sans doute de même pour le contingent français, même si dans notre beau pays, la censure et l'autocensure dépassent l'imaginable.

Autre petite anecdote "croustillante" :

D'après le Journal of clinical microbiology de juin 1994, n°6, une équipe de chercheurs japonais du Centre de recherche biomédicales de la Faculté de Tokyo a mis en évidence la présence de fragments d'ARN du virus de la peste dans des vaccins contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (vaccins simples et vaccins associés). Le plus étonnant et le plus inquiétant aussi, c'est que ces chercheurs assurent que les vaccins ne pouvaient être "contaminés". Les ARN
du virus de la peste seraient donc apparus par un phénomène de recombinaison qui reste encore à expliquer. (D'après l'IMPATIENT - Hors-Série n°11 - Juin 1996)
 

Les VACCINS à venir...
Conférence-Débat avec le Dr Guy Londechamp, le 10 février 1996 (près de Périgueux)

Le but n'est pas de faire peur mais de susciter un certain nombre de questions. Il y a plus de questions que de réponses ! Nous aborderons trois aspects :
Les expérimentations animales et les races transgéniques.
Les impacts probables des vaccins.
Les cristaux liquides.

1) Les expérimentations animales et les races transgéniques
Elles sont présentées comme une avancée très importante de la science en biologie moléculaire;
Elles permettraient :
-d'un côté d'obtenir des produits humains à travers des corps d'animaux,
-et de l'autre côté d'obtenir des tissus animaux à greffer chez les humains, parce qu'on est en carence de donneurs.
D'autres choses vont en découler, en particulier concernant l'avenir des techniques vaccinales.

Le problème des races transgéniques touche énormément de races d'animaux : souris surtout beaucoup de variétés, cobayes, lapins, porcs, veaux, chèvres... Distinguer les animaux qui vivent dehors, et ceux qui ne vivent qu'en laboratoires. Certaines espèces sont élevées dehors (veaux),
c'est là où les dangers sont les plus graves (contaminations éventuelles)

Des races ont été "modifiées" de toutes pièces pour pouvoir expérimenter sur elles des modèles de maladies humaines chez des animaux qui n'étaient pas atteint auparavant.
C'est le cas du babouin et du macaque Pigtail, par exemple, pour le SIDA... Ils vont devenir sensibles à ces maladies par sensibilisations successives. Les babouins étaient porteurs de SIV :
(virus d'immuno déficience du singe), qui était une maladie pratiquement inapparente chez eux.
On a créé récemment une sensibilité chez les babouins, (Quotidien du Médecin, 28/10/1994),
pour qu'ils déclenchent un SIDA très proche de celui de l'homme, très rapidement évolutif, en couplant génétiquement un SIV avec un HIV : (virus d'immuno déficience humain)... Et on a obtenu par passages successifs en fait, une infectiosité de plus en plus rapide et des modèles de SIDA humain chez des singes qui avant étaient indemmes de la maladie. C'est une porte ouverte,
à mon sens, très importante.

Sachant qu'en plus, beaucoup de virus du singe ont été inoculés avec le vaccin anti-polio (SV 40,
STLV3). Il y a des virus proches qui sont présents maintenant chez les humains, parce qu'il y a des passages, comme la fièvre d'Ebola, fièvre hémorragique qui touche les singes et les faits mourrir très rapidement, mais qui touche également les hommes. On se demande si ce virus EBOLA ne serait pas un agent de contagion par voie aérienne (Lancet : 03/12/95 / Vol 346 / p. 1669-1671). Il faut imaginer l'avenir de virus aussi contagieux que le virus EBOLA, qui aient la gravité sur le système immunitaire du virus "VIH". En admettant qu'il y ait des échanges de patrimoine génétique entre les virus, on pourrait aboutir à un virus transmissible directement de l'animal à l'homme, et qui ne soit plus transmissible uniquement par le sang ou par le sexe, mais par voie aérienne. Donc extrêmement rapide, contagieux, et provoquant une atteinte très profonde et très rapide du système immunitaire.

LE PORC. C'est l'animal le plus proche de l'homme au plan antigénique (au point qu'on a pu utiliser l'insuline de porc pour l'injecter à des humains). On travaille beaucoup avec les porcs pour injecter chez eux des gènes du complément humain. On les sensibilise pour les rendre capables de ne s'immuniser contre les tissus humains en leur injectant des gènes du complément. On leur
demande ensuite de fournir des tissus pour les transmettre à des humains en tant que greffes.
Ces humains subiront ensuite une dépression immunitaire pour pouvoir tolérer ces tissus du porc,
et qu'il n'y ait pas de réactions du complément de rejet. C'est encore une brèche dans le sens
homme/porc pour que l'homme puisse tolérer les tissus du porc, pour qu'il n'y ait plus de réactions antigéniques croisées avec les protéines du porc, ou du porc par rapport à l'humain.

Cela veut dire deux choses. D'une part, chez les populations animales, il va quand même y avoir
des modifications très importantes, peut-être de comportement, pas seulement immunitaires. Peut-être aussi psychiques ? Et dans l'autre sens, chez l'homme, il peut y avoir non seulement des modifications immunitaires mais aussi au niveau comportemental. Sachant qu'il peut y avoir ensuite des échanges de patrimoines génétiques entre les virus et entre les microbes, dans ces races animales, la brèche est ouverte vers l'humain pour que ça passe directement, pour qu'il n'y ait pas de réaction particulière de l'homme s'il y a des échanges directs, avec une sorte de neutralisation immunitaire ou tolérance.
S'il y a tolérance immunitaire il n'y aura peut-être pas de vagues ? Mais si l'on aboutit à cette tolérance de tissus étrangers, c'est-à-dire à une acceptation, une absence de conflit, cela permettra progressivement d'utiliser du tissu étranger (pour des greffes) sans qu'il perturbe le système immunitaire, sans qu'il y ait  de réaction d'identité . Est-ce que cela ne veut pas dire qu'il y aura alors perte complète de l'identité ? Quel avenir dans ce cas pour le système immunitaire ? Et pour l'identité spirituelle ?

On utilise déjà des protéines venant des animaux transgéniques. Par exemple l'érythropoïétine.
Et ce, grâce à des veaux transgéniques qui synthétisent de l'érythropoïétine humaine (Quotidien du Médecin / 23/12/93 et 03/03/94) qu'on injecte donc chez les insuffisants rénaux en dialyse. Est-il légitime de penser qu'une érythropoïétine synthétisée même avec des gènes humains dans un corps animal est structurellement identique à l'érythropoïétine humaine dans un corps humain ?
Est-ce qu'on peut faire passer la molécule d'un champ de forme animal vers un champ de forme humain et considérer qu'il s'agit d'une molécule identique ? Avec les mêmes effets biologiques ?
On a beaucoup parlé d'organisation spatiale et d'efficacité en fonction de cette organisation spatiale. est-ce qu'on peut garantir que ces protéines étrangères ne sont pas accompagnées d'autres protéines ou ne sont pas capables elles-même de provoquer des chocs protéiques comme les prions ? (Cf les prions et la maladie des vaches folles)
Pourtant, cette érythropoïétine est déjà dans le domaine de la commercialisation banale ou presque.

Peut-on se satisfaire d'une protéine semblable, ou faut-il qu'elle soit identique ? A-t-on le droit d'utiliser des substances animales synthétisées à partir de gènes humains greffés chez les animaux en disant qu'elles sont identiques ? Comme l'érythropoïétine élaborée chez l'animal à partir des gènes humains ? Est-ce scientifiquement recevable ?
Le risque est en fait qu'il y ait une confusion immunitaire profonde. Si le système immunitaire ne sait plus reconnaître ce qui est semblable et ce qui est identique, il peut littéralement devenir "fou"
ou bien abréactif. C'est-à-dire entrer dans un système d'auto-destruction immédiate, ou bien être dans un système de tolérance par rapport à tout ce qui est étranger, en acceptant tout élément étranger sans faire de différence, et en restant dans le semblable mais plus dans l'identique. Cela implique une atteinte profonde de l'identité.
S'il y a réaction, ce sera forcément un mécanisme d'apoptose (mort cellulaire par activation d'un gène spécial de découpage de l'ADN) ou auto-immun...A savoir un mécanisme d'auto-destruction parce que le système immunitaire ne pourra plus reconnaître ce qui est lui et ce qui n'est pas lui. Il réagira seulement a des fractions et non a une totalité . Ce sont les maladies auto-immunes, le SIDA, qui a une caractéristique auto-immune très importante.
Il s'agit en fait de substances animales, déjà utilisées dans le quotidien, qui sont à elles seules capables d'engendrer une problématique immunitaire avec une tendance auto-immune.

Définitions : Semblable : il peut y avoir une portion semblable, avec un site de reconnaissance qui contient une séquence semblable. Mais pas la totalité. Il y a des variantes. Un segment stable reconnaissable comme étant immunogène, suscitant un réflexe d'identité. Si ce secteur est semblable, il n'y a pas de réaction. Mais il y a tout de même toute une partie qui accompagne qui n'est pas identique. La reconnaissance ici n'est que partielle.
Identique : Semblable en tous points.

Le problème est que la reconnaissance se fait sur certaines cibles, non sur la totalité. Les systèmes protéiques peuvent être plus ou moins fins. Et les systèmes immunitaires peuvent être très performants (avec un réflexe d'éjection très rapide), ou bien assez tolérants.

La gravité pour le singe, c'est qu'on peut obtenir à travers les échanges triangulaires porc-singe-homme (parce qu'on a fait passer des gènes du singe chez le porc, et du porc chez le singe : on a essayé de faire des échanges pour voir ce qui se passait, avant d'essayer cela avec l'homme), et on a greffé récemment de la moelle de babouin chez un homme, aux USA, pour essayer de combattre un Sida. Cela veut dire que tout est en place pour qu'il y ait des échanges génétiques de virus avec des tolérances immunitaires entre le singe, le porc et l'homme.
Déjà sur le plan pratique, il est possible qu'il y ait des mutations virales. Comme un croisement de virus entre eux, par exemple un virus simiesque + un virus grippal, le virus résultant du croisement
pouvant alors adopter un mode de transmission aérienne, pas seulement par voie sanguine.
Avec la même variabilité et la même contagiosité que le virus de la grippe, et le même impact sur le système immunitaire que le "virus du SIDA". Ces conditions là sont quasiment réunies actuellement.

Qu'est-ce qu'un virus-micro-organisme ?
Une entité intelligente, avec la capacité d'avoir un plan, et de le mettre en pratique ?
Ou bien, ce qui est plus probable, n'est-ce qu'un programme et une vibration, c'est-à-dire une
information. Quel est le rôle de cette information ? On ne peut affirmer que les virus viennent effectivement d'une contamination extérieure. Il se peut tout à fait que ce soit nous-même qui créions ce virus = émission d'une fraction d'ADN, sortant du noyau cellulaire, et traduisant une information destinée à l'ensemble de l'organisme. Un certain nombre de virus fonctionnent comme cela, ressemblant alors à des "gènes sauteurs".

Si cela est vrai, sur le plan pratique, quand on est confronté à des infections virales de ce type,
que traiter ? Pourquoi ? Avons-nous à traiter ? Et comment doit-on traiter l'information ?
Est-ce que la tactique virale ne serait pas un programme extrêmement intelligent mettant en difficulté notre identité elle-même ? Le système immunitaire étant quelque chose d'extrêmement
complexe. La maladie serait la résultante de cette information virale que notre système immunitaire n'arrive pas à résoudre. Problématique : quel est le sens, quel est le message derrière?

Dr Jacqueline BOUSQUET (Docteur ès Sciences, spécialisée en biologie et immunologie) :
Ce sens est clair... Il s'agirait d'une dégénérescence de la cellule, sur le plan vibratoire. Elle ne
peut plus contrôler certains éléments comme les mitochondries qu'elle a phagocytés (Cf théories
de Béchamp = microzymas / Gaston Naessens = Somatides / Institut Pasteur récemment = Mycoplasmes. Ces entités sous-cellulaires vivantes et autonomes seraient la base de la vie, les éléments constitutifs de la cellule. Les mitochondries, par exemple, seraient des entités de ce type
phagocytées par la cellule, dans un but bien défini). Lorsque le taux vibratoire de la cellule diminue, comme à un taux correspond une forme, le contrôle de ces éléments "étrangers" l'un à l'autre, mais constituants de la cellule, n'est plus possible. A une vibration correspond une forme.
C'est de la physique. Si l'on change la forme, la vibration change. Lorsque, à un moment donné,
par une quelconque déficience génétique par exemple, la cellule ne peut plus contrôler les organites qui la constituent, par une chute du taux vibratoire, ces organites reprennent leur vie
propre. Le système immunitaire est quelque part là-dedans. Il ne peut pas se bagarrer contre ses propres constituants. Ce qui explique son hésitation. Il ne sait plus quoi faire. La logique du signal, c'est : "remonte ton taux vibratoire pour reprendre le contrôle des événements !"
Si l'on supprimait tous les virus, nous marcherions sur des monceaux de cadavres. Ce serait ce que l'on appelle le chaos, en biologie et en physique, on est en train de le découvrir.

Avec de l'homéopathie simple, c'est-à-dire une information qui n'est pas vraiment pondérable
au-delà d'une certaine dilution, on arrive à faire passer des maladies infectieuses aiguës, virales ou non, d'une manière très rapide, sans utiliser d'agents anti-infectieux ou de vaccin.
Ce qui prouve bien que ce n'est pas le germe lui-même qui est important mais le système d'ordre.
Il n'est donc pas nécessaire de combattre un agent infectieux viral ou bactérien, mais de comprendre la dynamique perturbée.

Dr Alain SCOHY :
C'est le cas tout particulièrement pour le SIDA. Cela explique bien les guérisons spectaculaires
sitôt que les patients reprennent en main leur vie, quittent la peur, modifient leur hygiène générale,
alimentaire par exemple.

Dr Guy Londechamp :
Si donc les virus ou microbes sont des informations, l'utilisation d'un antibiotique pour une situation banale est une aberration. Restent la question de l'urgence évidente et de la réanimation
où cette utilisation sera légitime.

On est dans une situation qui nous amène à une compréhension différente du terrain, et entraîne un changement d'attitude. Si on applique ce changement d'attitude, on peut se retrouver avec une interdiction d'exercice, surtout si les patients vont bien.

On peut donc considérer qu'une infection virale est un vecteur de changement d'ADN, un vecteur
de mutation de l'individu qui peut donner :
si cela ne marche pas bien un lymphome, un cancer, un phénomène auto-immun, une mort cellulaire, si cela marche un changement structurel, touchant aussi bien le corps que l'esprit.
 

                                            ABSENCE DE CONTRÔLE.

L'état du système IMMUNITAIRE n'est pas vérifié avant et après vaccination. Malgré les incitations depuis des années à contre-indiquer les vaccinations (à virus vivants ou BCG) chez les séropositifs par exemple...
On pourrait rajouter le typage tissulaire qui permettrait presque à coup sûr d'éliminer les sujets risquant de développer une sclérose en plaques suite aux vaccinations virales ou par génie génétique.
Les vaccinations n'ont rien à faire de l'efficacité. Elles n'ont rien à voir avec une méthode scientifique. Personne ne vient faire le point des désorganisations de la personne après les vaccinations.

Toute cette tactique vaccinale devient totalement aberrante face aux travaux de Béchamp, Tissot et Naessens. A signaler des articles d'un professeur d'université canadienne qui s'appelle SONEA, qui parle du téléphone cellulaire et du monde microbien en tant qu'entité et en tant qu'unité, et qui dit la même chose, à savoir que les virus sont présents dans les bactéries à l'état de prophages et ne sont que des informations libérées par les bactéries quant elles font le téléphone cellulaire. Là aussi, c'est un responsable d'un secteur de biologie à l'université de Montréal, et il dit ouvertement : "Si on dérègle le monde bactérien par notre intervention, cela peut aller jusqu'à compromettre la vie sur terre".
Cf S. SONEA et M. PANISSET : "Introduction à la nouvelle bactériologie"/ Presses de l'Université de Montréal / Montréal 1980.

2) LES CRISTAUX LIQUIDES.

Il faut savoir que les techniques de l'an 2000 s'orientent vers l'injection d'ADN nu... C'est-à-dire
les séquences d'ADN répétitives, en boucles, qui sont les supports d'informations sur lesquels on va greffer, en couronne, soit des séquences d'ADN viral, soit des gènes codants pour des protéines virales ou bactériennes. C'est-à-dire essayer d'injecter de multiples informations sur un support ADN lui-même informatif. L'ADN de base peut être un ADN synthétique.

Il faut savoir que 90 % de notre ADN apparemment ne sert "à rien" (= pas pour la synthèse protéique). Il y a des séquences itératives dont ont ignore l'utilité. S'agit-il de gènes pour le futur,
favorisant l'évolution ? Ce sont sans doute des potentialités d'évolution. Potentiel énorme.
D'énormes parties de nos noyaux cellulaires n'ont pas une fonction claire reliée à la forme, à la structure. Leurs fonctions sont sans doute reliées à l'organisation, à l'interaction et à l'évolution.
On ne sait pas quoi en faire, car on ne peut pas les approcher par la méthode de dissection ou sous l'angle de la méthode expérimentale.

Ces techniques d'injection d'ADN nu ont déjà commencé, soit en IM (intramusculaire), soit en JET sur des billes d'or (pistolet sous pression)... On observe une réponse aussi bien de l'immunité cellulaire, les L.A.K. (cellules tueuses = lumphocytes activés / lignées toxiques utilisées pour la lutte contre le cancer ou les infections virales), que des immunoglobulines (anticorps).
La réponse est donc à la fois humorale et cellulaire, ce qui apparaît très encourageant mais pose beaucoup de questions.
L'intégration de ce patrimoine génétique à nos cellules se fait très rapidement, et on ne peut plus contrôler ensuite les synthèses protéiques qui se font, puisqu'elles sont intégrées à notre patrimoine. Il s'agit de substances étrangères pouvant éventuellement avoir une interaction entre elles. On envisage en effet de faire des vaccins hexa ou hepta-valents.

Le problème est de savoir si cette technique va mettre en jeu la totalité de l'organisme et sa descendance, ou bien rester simplement limitée à certaines cellules de l'organisme (en mosaïque).
Et dans quelle mesure, même dans cette dernière hypothèse favorable, n'y aurait-t'il pas de modifications immunitaires par rapport aux ADN inoculés, ou par rapport aux protéines antigéniques fabriquées par nos propres cellules, soit précocement, soit à la longue, et éventuellement transmissibles aux descendants ?
Il s'agit d'une information ADN, intégrée à notre patrimoine, avec les gènes ou l'ADN complet,
sans la protéine d'enveloppe. Cette information est donnée en INTRAMUSCULAIRE, et ne toucherait donc pas toutes les cellules à la fois ? Est-ce que l'organisme est capable d'isoler ?

Sommes-nous véritablement capables de vérifier et maîtriser complètement ces informations sur ces boucles d'ADN ? C'est-à-dire de faire des ADN de synthèse et d'en connaître la programmation possible.
N'est-ce pas l'installation d'une antenne à l'intérieur de notre organisme, programmable de l'extérieur, malléable ?

Il faut savoir qu'il existe des recherches sur ce qu'on appelle les cristaux liquides. L'ADN est un cristal liquide, modulable dans sa structure. Il fonctionne comme un ordinateur. On se demande si les techniques actuellement développées en médecine vétérinaire pour l'identification animale
(injection sous-cutanée de TRANSPONDEURS = micro-ordinateurs identiques à des cristaux liquides) ne seraient pas appliquées aux humains ! Ces transpondeurs, à partir d'une influence extérieure électromagnétique, permettraient d'agir à l'échelle cellulaire, avec soit des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. C'est-à-dire des techniques d'actions de masse sur les gens, avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. Il y a des journalistes qui se posent très sérieusement la question, notamment au Québec et aux USA.

C'est peut-être de la science fiction. A moins que la science fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité.

Il existe en effet une multinationale, la TEXAS INSTRUMENTS, qui met au point les transpondeurs injectés chez les animaux qui servent actuellement à l'identification animale sur la planète entière. Des millions et des millions de transpondeurs sont déjà en place. On peut y coder toutes les caractéristiques génétiques de l'animal, ainsi que d'autres informations dont on pourrait avoir besoin, comme ses vaccinations, les aliments ingérés, ect...

Les journalistes québécois ont mis en parallèle l'utilisation des transpondeurs et ces recherches et travaux sur les cristaux liquides...

D'autant plus qu'on a poussé tout le monde à se faire vacciner contre la méningite, alors qu'il ne s'agissait pas d'un problème de première importance, et qu'on a usé là-bas d'un protocole spécial.
On a demandé à toutes les équipes pratiquant les vaccinations de remplir un questionnaire très précis où l'on retrouve une liste d'une vingtaine de complications possible. Ce vaccin est pourtant présenté comme anodin chez nous. Mais chez eux, il y aurait des tas de complications possibles,
d'où les cases du questionnaire à remplir et en particulier en ce qui concerne :
les chocs, collapus... Il était prévu à proximité tout le nécessaire pour une éventuelle réanimation...
et les maladies démyélinisantes.
S'il s'agit d'une vaccination si anodine, pourquoi a-t'on demandé à ces centres d'avoir des conditions si rigoureuses, et ces mesures de sécurité et d'observation exceptionnelles ?
Il faut signaler par ailleurs qu'on a vacciné de force contre l'hépatite B des populations entières au Nord du Canada, sans explication, sans même l'autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n'a fourni aucune explication. Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucun justificatif des besoins, ni explications.

Pourquoi insiste-t-on tant sur cette vaccination qui ne paraît pas être un problème de santé publique a côté de celui du cancer, de la malnutrition...?
Surtout quand on sait que 90 % des malades de l'Hepatite B guérissent spontanément en quelques semaines, que les complications touchant les 10 % restants se feront sentir sur 10 à 30 ans (hépatite chronique et cancer du foie) sans qu'on puisse éliminer d'autres facteurs dans la responsabilité de la maladie.
Et qu'enfin les Africains disposent d'une plante (le Desmodium ascendens) qui soigne très rapidement toutes les hépatites aigües, virales ou toxiques, sans aucune toxicité !!!...
(plante disponible en France par ailleurs).

De tout cela résulte la dernière question : N'est-on pas en train d'injecter aux gens, avec le vaccin Hépatite B, non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d'autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d'ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l'extérieur à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place.

Le Dr Jacqueline BOUSQUET intervient ici pour nous rappeler que le mécanisme de la mitose
cellulaire humaine fonctionne grâce au centriole cellulaire qui est analogue aux cristaux liquides.

En définitive, le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences ? Et il est bien difficile de savoir exactement ce qu'il y a dans ces vaccins...

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