C.A.R.L.

COMMENT MENER UNE GUERRE BIOLOGIQUE ET PSYCHOLOGIQUE

Chacun de nous a plus ou moins entendu parler de la guerre biologique. On empoisonne, par exemple, en tant de guerre, l'eau de l'ennemi de virus et de bactéries. Il n'y a là rien de nouveau mais ne vous êtes-vous jamais demandés où ces agents toxiques sont testés ? Voici quelques exemples pour votre information : En 1950, un navire de l'US Navy pulvérisa six jours d'affilée des nuages de bactéries, connues sous le nom de bactéries Serratia, au-dessus de la ville de San Francisco en vue de tester la capacité d'attaque et de défense des Etats-Unis au moyen de leurs armes biologiques. Les habitants en ressentirent presque tous les effets. Il est, aujourd'hui, connu que les bactéries Serratia provoquent une sorte de pneumonie qui peut s'avérer mortelle. L'armée dévoila aussi qu'elle avait fait 239 expériences à l'air libre, dont 80 incluaient des germes, entre 1949 et 1969. Cela signifie qu'il y a eu quatre interventions annuelles sur des villes américaines pendant vingt ans ! D'après les rapports de la CIA, celle-ci aussi, pendant la même période, avait bombardé des villes entières de germes et de bactéries. Ces expériences auraient été arrêtées après 1969.

Les Soviétiques et les Américains, ont testés des armes nucléaires sur leurs propres troupes, entre les années 50 et 60, cela fut diffusé dans un documentaire télévisé sur ARTE, le moyen consistait de faire exploser une bombe nucléaire (dans l'atoll de Bikini dans le Pacifique, pour les américains) et d'y envoyer des troupes en manoeuvre, pendant plusieurs semaines, histoire de voir les réactions des hommes face aux radiations ! Bien entendu, quelques mois et années plus tard il n'y eut aucuns survivants. Ceci n'est pas de la fiction, cela s'est réellement passé, c'est complétement démentiel ! Note du C.A.R.L.

Mais les américains ne furent pas seulement bombardés de germes. Ainsi que la NBC le communiquait le 16 juillet 1981, l'Union Soviétique a soumis le nord-ouest des Etats-Unis pendant plusieurs années à des ondes de basse fréquence. Ces ondes radio furent mises en phase sur des fréquences bio-électriques. Dans le langage technique, elles sont désignées d'ondes "ELF" (Extremely Low Frequency = fréquences extrêmement basses). Elles furent découvertes au début de ce siècle par NIKOLA TESLA (des livres sur Tesla et sur ses inventions se trouvent dans l'appendice sous la rubrique "Energie libre"). Pour ceux qui désirent en savoir plus sur Tesla, aller au chapitre du livre La conspiration cosmique : Remarquable génie : NIKOLA TESLA (note du C.A.R.L.). Tesla collabora avec Edison en 1884 mais il ne tarda pas à se séparer de lui parce qu'il ne partageait pas ses convictions sur la façon de produire de l'électricité. Il se mit alors à travailler avec son concurrent George Westinghouse. La première centrale à courant alternatif, construite par Westinghouse et par Tesla, fut mise en route en 1892 aux chutes du Niagara. Peu de temps après, Tesla se projeta dans un "super espace scientifique" où, à notre connaissance, aucun chercheur, à cette époque-là, ne put le suivre. Seul le banquier J.P. Morgan (J.P. Morgan & Co. représentait la N.M. Rothschild & Co. aux Etats-Unis), qui avait financé Westinghouse, parut avoir saisi la portée des inventions de Tesla. Celui-ci avait commencé à se servir du champ magnétique entourant la Terre et emplissant l'espace (appelé jadis éther) pour lui soutirer l'énergie qui était, évidemment,gratuite. Il utilisa, dans le même temps, le champ énergétique de l'éther pour différentes formes de communications et pour la transmission de l'énergie. Des sources d'énergie, telles que le charbon, le pétrole et la force hydraulique, de même que les lignes à haute tension devenaient donc superflues. Les bateaux, les autos, les avions, les usines et les maisons pouvaient soustraire l'énergie directement du champ énergétique de l'éther. Fin 1898, lors de ses expériences à Colorado Springs, financées par J.P. Morgan, Tesla allait produire de l'énergie à partir de l'éther. Nous appelons, de nos jours, cette technologie conversion de l'énergie gravitationnelle ou de l'énergie à tachyons. Morgan avait bien compris la portée de cette invention : les monopoles de l'électricité, du pétrole, de l'essence, du charbon, etc auraient été menacés. C'est la raison pour laquelle il provoqua l'arrêt des travaux et fit détruire le centre de Tesla à Colorado Springs. Mais Tesla ne renonça pas pour autant. Jusqu'à sa mort le 7 janvier 1943, il accumula une foule d'inventions ; certaines furent révolutionnaires et d'autres eurent une portée qui est, de nos jours encore, à peine commensurable et imaginable. Ses inventions pourraient, même en notre fin de 20ème siècle, transformer, en peu de temps, la Terre en un paradis, ce qui, cependant, comme vous le savez, n'est pas souhaité par les "hommes qui tiennent le gouvernail ".

Outre ses machines à capter l'énergie de l'éther pour la rendre utilisable. Tesla construisit un "Solid-State-Converter" (1931). Celui-ci propulsait un moteur électrique spécial qui, placé dans une lourde limousine, s'avéra avoir les mêmes performances qu'un moteur à essence normal. On fit le test avec une voiture à 130 km/h pendant une semaine, frais de carburant : ZERO ! Cet appareil, de la taille d'une caisse à vin, produisait assez d'énergie pour répondre aux besoins de toute une maisonnée !!! Il réussit aussi à provoquer artificiellement des tremblements de terre grâce à l'induction de secousses du champ de tachyons dont la conséquence est de transmettre des vibrations dans la matière. Un jour, Tesla soumit à un tremblement de ce genre tout un bloc d'immeubles dans une rue de New York. Outre le brevet pour la télécommande de véhicule (1898), il inventa aussi la transmission d'énergie sans fil. Mais ce qui nous intéresse surtout dans le cadre de notre sujet, c'est sa découverte d'ondes stationnaires (dont nous en reparlerons plus tard) et de fréquences extrêmement basses, appelées aussi "effet Tesla". les expériences de Tesla formèrent le fondement de toutes les recherches modernes dans le domaine de la communication ELF. Si on expose un champ de tachyons aux ondes ELF et qu'on le dirige vers un être humain, certaines de ses fonctions électriques (bioélectrique C.A.R.L.) de son cerveau se déconnectent, ce qui suscite de graves troubles dans sa conscience de veille. Les fonctions neurologiques et physiques subissent un préjudice, dû à un amoindrissement des fonctions intellectuelles, et rendent l'homme, par la même, plus influençable. C'est ce qui est souhaité, c'est évident à la lecture de l'article de "l'Associated Press" du 20 mai 1983 où il est dit que l'URSS utilise depuis au moins 1960 un dispositif connu sous le nom de LIDA qui a pour but d'influencer le comportement humain avec des ondes radios de basses fréquences. On utilise cet appareil en URSS pour tranquilliser, car il induit un état semblable à la transe. Il permet de traiter des problèmes psychiques et névrotiques ainsi que des problèmes de tension mais on peut aussi s'en servir pour provoquer un état agressif ou dépressif. Des individus, des villes et même des contrées entières de l'URSS ainsi que des Etats-Unis sont, depuis longtemps, soumis à des rayons précis (à des émissions de fréquences précises. note du C.A.R.L.) pour susciter certains comportements au moyen d'exemplaires grands modèles de cet appareil LIDA. Il est possible, si on en croit l'US Defense Intelligence Agency, de faire apparaître dans le cerveau humain des sons et même des mots entiers ainsi que de déclencher par télécommande des attaques d'apoplexie, des défaillances cardiaques, des accès d'épilepsie et d'autres maladies.

Un des premiers cas de la "guerre invisible" dont eut connaissance le public fut le "signal de Moscou". Lorsqu'en 1962, on chercha des "micros" à l'ambassade des Etats-Unis à Moscou, on découvrit un rayon à micro-ondes qui était dirigé directement sur l'ambassade. L'étude de la CIA portant le nom de Pandora examina pour quel motif les Soviétiques avaient déclenché cette attaque. On découvrit que ces micro-ondes causaient des maux de tête, d'yeux, des vomissements, de la fatigue, une faiblesse générale, des vertiges, une irritabilité, de l'angoisse, de la dépression, des insomnies, des tensions, une inhibition des facultés intellectuelles, un amoindrissement de la mémoire ainsi que des cancers. D'après les informations du conseiller à la sécurité Zbigniew Brzezinski, le personnel de l'ambassade américaine à Moscou accuse le plus haut porcentage de cancers du monde. Après une courte trêve obtenue à la demande du président Lyndon Jonhson auprès du Premier ministre Alexis Kosygin, les Russes continuèrent à bombarder l'ambassade de micro-ondes. En se servant des armes "psychotroniques", c-à-d des armes Tesla relativement faciles à construire, il est aisé de priver de sa conscience de veille tout soldat qui part à l'attaque et de lui enlever, ainsi, toute agressivité. Voici un article du "Magazine 2000", n° 97, de décembre 1993 où on communique à propos des "nouvelles armes psychotroniques" : "Vous souvenez-vous des images de la guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu'ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l'artillerie américaine, bien qu'ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d'experts militaires sont persuadés que ce n'est pas le ravitaillement insufissant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que ce sont bien les armes psychotronique de "Mind-Control" des Etats-Unis. Quelques-unes de ces super-armes de haute technologie se servent des effets qu'ont les ondes de fréquences radio sur le cerveau humain. Ainsi que le relate en janvier 1993 un rapport de la revue spécialisée "Aviation Week and Space Technology", le ministère de la défense des Etats-Unis équipe maintenant des fusées avec du matériel qui peut provoquer des pulsions électromagnétiques (EMP's) pour "paralyser" l'ennemi sans devoir se servir pour autant de composantes atomiques, biologiques ou chimiques. Avec ce type d'arme, le premier but est de couper les systèmes électroniques ennemis. D'autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF (de fréquences extrêmement basses) qui provoquent des naussées et des vomissements et perturbent à l'extrême le sens de l'orientation des personnes ciblées. Ces armes ont un rayon d'action d'au moins 2.500 kilomètres...

De même qu'on peut réduire l'agressivité, de même peut-on susciter des foyers d'agression, par exemple des guerres civiles, des soulèvements populaires, des suicides collectifs, de la haine, etc. Les journaux pour spécialistes initiés mentionnent occasionnellement les armes Tesla. Il s'agit d'armes qui, pour être efficaces, utilisent le potentiel énergétique inépuisable du champ de tachyons de l'espace. Les autorités les plus célèbres en la matière sont le colonel de l'armée américaine et physicien Thomas E. Bearden, le physicien américain Sidney Hurwitz et le physicien américain Guy Obelensky. Les deux derniers travaillent, depuis des années, activement pour la défense israélienne. En 1969, Hurwitz avait construit une arme Tesla qui, dans un rayon d'action de 300 mètres, augmentait ou réduisait énormément le potentiel de gravitation des métaux ferreux. Hurwitz pouvait, par ex., alourdir de plusieurs kilos un petit pistolet et en changer les dimensions, si bien que toutes munitions devenaient inutilisable. Il poussa plus loin son expérience jusqu'à mettre en lambeau le métal de l'arme comme s'il s'agissait d'une pâte friable. (Ces expériences furent filmées, on peut les voir, entre autres, sur trois vidéos intitulées "UFOs, von der Legende zur Wirklichkeit" (OVNIs, de la légende à la réalité), "Top Secret", et "Der Kontakt" (le contact) de la Royal Atlantis Film GmbH, tél : 19 49 89 9043171. Ces vidéos contiennent aussi des interviews avec Thomas E. Bearden !)

Le thème de la CONDUITE DE LA GUERRE METEOROLOGIQUE n'est sûrement pas familier non plus à la plupart d'entre vous. Avant d'entamer ce sujet, portons notre attention, d'abord, sur le temps atmosphérique. On suppose que le problème majeur du temps anormal que nous avons aujourd'hui vient du fait que la Terre se refroidit lentement alors que la teneur en CO2 a doublé, créant , ainsi, un réchauffement de notre atmosphère, ce qui correspond à "l'effet de serre". Un rapport de la "Neue Solidarität" du 24 février 1993 relate : "Comme on a pu le lire récemment dans la revue renomée "Nature", il y a une discordance énorme entre la "catastrophe climatique" prophétisée par les plus grands ordinateurs du monde et la réalité. Dans l'édition du 28 janvier se trouvait un article de J.D. Kahl intitulé "Le manque d'indices pour le réchauffement de l'atmosphère dû à l'effet de serre au-dessus de l'océan Arctique au cours des quarante dernières années." Le début de l'article montre déjà ce dont il est question :

"D'après les modèles de la circulation atmosphérique, on prévoit un plus grand réchauffement atmosphérique dû à l'effet de serre sous les hautes latitudes. Nous publions ici les températures qui ont été mesurées dans la troposphère inférieure au-dessus de l'océan Arctique entre 1950 et 1990. Nous avons analysé plus de 27.000 profils de températures. La plupart des tendances ne sont pas statistiquement significatives. En particulier, nous n'avons pas constaté de réchauffement assez étendu sur la surface tel que les modèles de climat le prédisent ; en effet, nous avons découvert pour les saisons d'automne et d'hiver une tendance significative de refroidissement au-dessus de l'ouest de l'océan Arctique. Cette discordance fait comprendre que les modèles de climat de nos jours ne reflètent pas avec justesse les processus physiques qui influencent les régions polaires." Moira Timms aussi écrit dans "Der Zeiger der Apokalypse" (L'aiguille de l'Apocalypse) que les stations de surveillance du cercle polaire rapportent une baisse de température de plus de 6° C depuis ces trente dernières années. La "Neue Solidarität" écrit :

"Il serait quand même prématuré d'en conclure que les modèles de serre soient déjà dépassés, pour la simple raison qu'on ne peut les réfuter avec des mesures ni avec d'autres faits scientifiques. Ils sont irréfutables parce qu'ils n'ont rien à voir avec des données scientifiques. Les modèles de climat sont des instruments manipulables sociologiquement parlant, ils permettent, grâce à des paramètres externes en nombre suffisant, d'établir à partir de données d'observation quelconques des scénarios de catastrophes avec un "potentiel d'exécution" politique maximal. C'est pourquoi nous prévoyons que justement les données de l'étude de Kahl, qui contredisent, aujourd'hui, apparemment les modèles de climat, vont compter déjà dans quelques semaines parmi les meilleures preuves de la thèse de l'effet de serre. Il ne faut pas sous-estimer la flexibilité de ce modèle."

Un sujet dont on ne parle jamais dans les médias est l'arrivée éventuelle d'une époque glaciaire. Il y a beaucoup d'éminents météorologues et géologues qui en sont venus à la conclusion, à l'aide d'échantillons de roches et de terres prélevés pendant des dizaines d'années de tests, que la future période glaciaire se ferait sentir dans les cinquante années à venir. D'après eux, une époque glaciaire serait indépendante de l'effet de serre produit par la pollution de notre atmosphère. Déjà dans quelques décennies, la progression du froid compenserait la hausse actuelle du réchauffement. Il est encore plus inquiétant d'entendre l'affirmation qu'une diminution du rayonnement solaire de 1% suffirait à déclencher la prochaine période glaciaire. La réduction du rayonnement solaire par la pollution est moins inquiétante que l'éventualité d'une gigantesque éruption volcanique qui pourrait considérablement obscurcir la lumière du soleil. Des nuages de poussière de cendres fines dus à une telle éruption peuvent demeurer des années dans la stratosphère et abaisser les températures au sol de plusieurs degrés. On en entend très rarement parler dans les médias. En ce qui concerne la pollution, vous ne devriez donc pas non plus croire tout ce que racontent les médias. Il est préférable d'écouter aussi l'autre version.

Mais il y a encore une autre variante à propos du temps atmosphèrique que les médias taisent aussi : Nos conditions atmosphèriques actuelles ne peuvent pas toujours passer pour de prétendues "humeurs atmosphèriques". de même, les catastrophes naturelles, tremblements de terre, tempêtes et périodes de sécheresses sont tout autre chose qu'une "punition de Dieu". Le paragraphe suivant extrait du livre "Zeiger der Apokalypse" (L'aiguille de l'Apocalypse) de Moira Timms le montre bien. On y lit :

"Sans une théorie complète sur les raisons qui sont à la base du changement du climat, les tentatives de l'homme pour le modifier sont certainement dangereuses (comme la thérapie médicamenteuse qui soigne les symptômes sans aller aux causes). Est-ce à quoi Johann Friede fit allusion ? "Tout ne sera pas la conséquence de causes naturelles mais l'humanité en allant trop loin mettra, ainsi, sa vie en jeu." Rien qu'aux Etats-Unis, il y a neuf programmes de modification du temps supportés par le gouvernement fédéral en 1975, sans compter les 66 autres programmes de différents organismes. Ces programmes comportent une multiplicité de recherches climatologiques jusqu'à la projection d'agents de condensation sur les nuages pour provoquer la pluie, éviter la grêle, dissiper les nuages, influer sur les ouragans, détourner des tempêtes de neige, dévier des chutes de neige, engendrer des tremblements de terre et des raz de marée, supprimer des éclairs, etc. Si la tendance actuelle à un temps imprévisible et froid se maintient, les pays qui en souffriront le plus seront l'Amérique du Nord, le Canada, l'Europe du Nord et la Russie. Voler "le temps" aux pays pauvres à l'aide d'une technologie sophistiquée pourrait devenir un réel problème dans un proche avenir quand des catastrophes "naturelles", telles que la famine et la sécheresses, toucherons les nations moins développées. Cela pourrait même conduire à des guerres. Comme toutes les tentatives pour diriger les forces de la nature, cette technologie provoque des répercussions multiples. Jusqu'à aujourd'hui, il n'y a pas de lois internationales qui limitent le "monopole du temps". A ce qu'il paraît, il rapporte bien à ceux qui l'ont en main. Provoquer un type de temps dans un endroit n'est possible qu'en diminuant son potentiel dans un autre endroit. "En 1973, le Honduras accusa les Etats-Unis de voler sa pluie et de provoquer une grande sécheresse en détournant artificiellement l'ouragan "FIFI" pour sauver l'industrie touristique de la Floride. Cet ouragan a causé les plus grand dégâts jamais vus dans l'histoire de l'Honduras. Le Salvador, subissant le fléau de la sécheresse, a porté des accusations similaires contre les Etats-Unis, comme le Japon qui croit qu'on lui a volé le peu de pluie nécessaire à toute vie en déclenchant le typhon à Guam. La Rhodésie ainsi qu'Israël furent accusés par les nations voisines de leur voler la pluie. Les Nations Unies travaillent à interdire toute guerre touchant à l'environnement mais c'est une affaire complexe et difficile et il est, pour ainsi dire, impossible d'y arriver. Lowel Ponte cite dans "The cooling" des fonctionnaires de l'armée qui avouèrent que des avions du gouvernement américain avaient mis fin à l'aridité de terres aux Philippines et aux Açores pour protéger les intérêts militaires des Etats-Unis. Mais on refusa de satisfaire à la requête de plusieurs autres nations appartenant à la zone du Sahel africain où la population souffrait de la sécheresse et mourait de faim. On leur dit qu'ils pouvaient s'adresser à des firmes privées américaines. Ponte décrit aussi des projets qu'ont les Soviétiques et qui visent à modifier de façon draconienne les structures atmosphériques en URSS dans le but d'augmenter la production agraire. Il y a, de plus, des preuves que l'énorme bouleversement causé au temps en 1982/83 par El Nino dans l'océan Pacifique a été provoqué intentionnellement par une intervention des Soviétiques dans l'ionosphère. Le phénomène appelé El Nino est une perturbation du temps d'origine naturelle dans la région du Pacifique qui se produit environ tous les dix ans. En général, il provoque d'importantes chutes de pluie dans des petites parties du Pérou et dans une zone limitée en face de la côte ouest de l'Amérique du Sud. Cependant, lorsque El Nino eut lieu en 1982/83, ses effets furent énormément changés : les alizés à l'équateur qui soufflent d'Est en Ouest dans l'hémisphère Sud furent, pour ainsi dire, refoulés, ce qui retint les courants d'eau chaude qui s'écoulent normalement vers l'Asie. L'eau se mit alors à refluer et à s'accumuler devant la côte ouest de l'Amérique du Sud. Pour des raisons inconnues des météorologues, les alizés se mirent à souffler dans la direction opposée, ce revirement apporta des chutes de pluie diluviennes au Pérou et causa des périodes de sécheresse en Australie. Ces alizés provoquèrent aussi des tremblements de terre, des coulées de boue ainsi que des tornades dans le Sud de la Californie et le long de la côte est de l'Amérique du Nord et de l'Alaska.

Cet exemple explique précisément les conséquences des ondes ELF qui sont envoyées à travers la Terre vers l'ionosphère à l'aide d'un émetteur-renforçateur Tesla pour provoquer de gigantesques vagues d'ondes stationnaires. Celles-ci servent alors de mécanisme pour bloquer le temps atmosphérique afin de provoquer de façon soudaine un bouchon inattendu avec les alizés soufflant d'Est en Ouest dont nous venons de parler. Déjà en 1978, le Dr Michrowsi du Département d'Etat canadien disait que les Soviétiques avaient réussi à bloquer la résonance électrique de la Terre et qu'ils étaient, par là même, capables d'émettre des ondes stationnaires relativement stables et assez bien localisées grâce auxquelles le Jet stream au-dessus de l'hémisphère Nord pouvait être endigué ou déplacé. Outre les dommages que cause la modification du temps au moyen des ondes ELF sur les structures naturelles du temps, sur le rythme des marées et outre les maladies qu'elle provoque chez l'homme, elle a aussi un effet négatif sur les animaux qui, c'est bien connu, sont dépendants des courants chauds du vent et de la mer pour se déplacer. Ils sont dérangés dans leur rythme naturel et donc condamnés à mort. Des volées d'oiseaux qui recherchent leur île habituelle pour y nicher ne la trouvent plus et des baleines, des dauphins perdent toute orientation à cause des changements de courants de la mer. (ce qui expliquerait leur échouages fréquents et inexpliqué. Note du C.A.R.L.). (Vous trouverez des informations excellentes dans le livre de Nikola Tesla : "Freie Energie statt Blut und Öl" (Energie libre à la place du sang et du pétrole), paru en 1991 à VAP Verlag, Wiesbaden, de même qu'aux éditions Félix : L'énergie du champ du vide Nikola Tesla.

Le lecteur ne devra pas perdre de vue que dans le cas d'une éventuelle période glaciaire, il n'aura pas beaucoup d'alternatives pour échapper à cette situation ainsi qu'aux conséquences de la pollution. Ceci ne touche cependant guère "l'élite" qui est très consciente, depuis au moins 1957, des conditions dévastatrices subies par notre environnement. Cette année-là, les scientifiques les plus éminents se rencontrèrent à Huntsville, en Alabama, pour exploiter les données et les informations du programme de satellites nouvellement installés. Un des participants, le Dr Carl Gerstein, fit le pronostic suivant : La pollution de la couche supérieure de l'atmosphère et les centaines de milliards de tonnes de CO2 qui s'y sont accumulées, auraient des conséquences catastrophiques d'ici la fin du siècle. On en arriva à penser qu'au siècle prochain, la vie humaine ne serait plus possible à la surface de la Terre. Il s'ensuivit le plan qui,de nos jours, est sûrement connu par la plupart des spécialistes d'OVNIs et dont la publication coûta la vie à plusieurs personnes. Il s'agit de "l' ALTERNATIVE 3"

Le plan était le suivant : ALTERNATIVE 1 : faire exploser une ogive nucléaire dans la stratosphère pour permettre au CO2 de se volatiliser. ALTERNATIVE 2 : la construction de gigantesques villes souterraines autonomes où seraient évacuée "l'élite de la société" qui pourrait y séjourner jusqu'à ce qu'il devienne à nouveau possible de vivre à la surface de la Terre. ALTERNATIVE 3 : la colonisation d'une autre planète, par exemple de Mars. ALTERNATIVE 1 : elle fut déclarée, plus tard, trop dangereuse et fut exclue du plan. Par contre, les deux autres alternatives furent lentement mais sûrement mises en place. ALTERNATIVE 2 : d'après mes recherches, elle comprend 75 villes souterraines dont 65 sur le seul continent de l'Amérique du Nord, une dans les Alpes suisses, une à Transvaal, en Afrique du Sud, et une à Pine Gap, en Australie (les autres noms m'ont échappé, car je n'ai eu que peu de temps pour consulter cette liste). Parmi les villes souterraines aux Etats-Unis se trouvent les bases souterraines de Dulce Base à New Mexico ; Area 51 à Groom Lake, au Nevada ; le "Country Club" à Maryland et Los Alamos, surnommé "Dreamland", en Californie. On y mène aussi des expériences génétiques sur l'homme (des clones), on y fait des essais en vol et on y reconstruit des OVNIs qui se sont écrasés et on y teste des inventions, telles que les groupes motopropulseurs pulsar. En avril 1992, j'interviewais une dame à Sidney en Australie qui ne désire pas être nommée ici. Elle avait travaillé pour une équipe de nettoyage en Australie et elle avait pénétrée, dans le cadre de son travail, dans la base souterraine de l'armée de l'air "PINE GAP". Elle rapporta les faits suivants malgré les lourdes menaces qu'elle reçut : Pine Gap aurait environ 13 km de profondeur et fonctionnerait grâce à l'énergie libre, avec des lacs souterrains, des trains suspendus, des cultures de fruits et légumes, etc. D'après des informations officielles, Pine Gap peut survivre sans problème à une attaque atomique. (Vous trouverez plus de renseignements sur PINE GAP et NIKOLA TESLA dans le livre "Cosmic Conspiracy" (la conspiration Cosmique) de Stan Deyo, au édition Louise Courteau FNAC City 2 BXL Tel : 02/209 22 11 /209 22 17 (ce livre n'etant pas de stock, prévoir 3 semaines de délai minimum, mais ce livre se trouve sur ce site, au C.A.R.L. on ne lésine pas sur les moyens ! Néanmoins le livre n'est pas repris dans son entiéreté, sont repris les chapitres complétant les sujets évoqués, tout en étant plus explicite, de façon à former une vision plus globale et plus riche en données des thèmes abordés. Note du C.A.R.L.).

ALTERNATIVE 3 : Ce projet se serait concrétisé à partir de 1959. On avait déjà construit des soucoupes américaines à la fin des années 50 avec l'aide de scientifiques allemands qui avaient participé à la construction de soucoupes en Allemagne sous le troisième Reich, entre autres grâce à Victor Schauberger (le Vril 7) et grâce à la technologie basée sur l'étude de soucoupes retrouvées écrasées à l'ouest des Etats-Unis. On lança un projet secret, parallèle au programme spatial officiel, afin d'étudier la surface lunaire à l'aide de la technique des OVNIs. A partir de 1960, on se mit à construire deux bases lunaires occupées par les Américains et les Russes, situées à l'est de la "MARE IMBRIUM". Ce furent les bases "ARCHIMEDES BASE" et "CASSINI BASE", d'après les noms des deux cratères où elles furent érigées. Ces bases lunaires étaient des stations intérmédiaires en vue de voyages sur Mars. Le premier attérrissage sur Mars avec un équipage aurait eu lieu le 22 mai 1962. Cet attérrissage ainsi que le vol au-dessus de la surface de Mars accompagnés des commentaires de l'équipage américano-russe furent enregistrés à partir de la soucoupe. En janvier 1977, le collaborateur de la NASA Harry Carmell transmit ce film à Sir William Ballantine, un radioastronome connu. Le 6 février 1977, Ballantine eut un rendez-vous avec John Hendry, dirigeant d'un journal international, pour commenter la sortie de ce film. Ballantine mourut mystérieusement d'un "accident" de voiture en se rendant chez Hendry. Grâce à l'aide de la femme de Ballantine et de Carmell, le film arriva finalement entre les mains de l'équipe de télévision de "Science Report" à la station anglaise "Scepter TV". Il fut diffusé à l'émission suivante de "Science Report". La station de télévision reçut peu après "l'avertissement" qu'on allait lui retirer sa licence si jamais elle continuait à traiter ce même sujet. Le film qui avait été pris du cockpit de la soucoupe permet de voir brièvement les instruments qui se trouvent devant le pilote et qui montrent que la pression exterieure de l'air est à 700 millibars et la température extérieure à 4° C. Les astronautes dont les voix sont enregistrées jubilent d'allégresse et s'exclament, entre autres : "Nous sommes le 22 mai 1962, nous sommes sur Mars, nous avons de l'air pour respirer !"

Remarque de l'auteur : Je me suis, jusqu'ici, abstenu d'émettre mes propres hypothèses, je voudrais, cependant, vous en communiquer une maintenant. J'entends beaucoup de lecteurs qui disent : "Balivernes que tout ceci, nous savons bien que la vie sur Mars est impossible..." La question que je vous pose est : le SAVEZ-VOUS vraiment ? Soyons donc honnêtes, la seule chose que nous pouvons savoir de la planète Mars, c'est ce que nous glanons ici et là dans les rapports de la NASA et dans les livres scolaires. On a DIT au public qu'il n'y a pas de vie sur Mars mais qu'en SAVONS-NOUS ? Soyons conscients que nous avons à faire de nouveau à des monopoles quand il s'agit de programmes de l'espace et que personne, excepté les scientifiques qui participent directement au projet, n'est VRAIMENT au courant. Quelles que soient les informations qu'ils puissent nous donner, il nous faut bien les croire puisque nous ne pouvons aller sur Mars pour vérifier de nos propres yeux. (De même que pour Pine Gap, Area 51, Los Alamos et j'oubliais : le fameux site d' ALBION en France, ex-base de lancements de missilles nucléaire, reconvertie en...? (investigations en cours). Tous ces noms cités sont : RESTRICTED AREA ! ZONE INTERDITE ! Note du C.A.R.L.). Partons du principe que Mars est vraiment une planète "morte" ; alors tout serait comme d'habitude, nous serions obligés de rester sur la Terre, sans espoir de pouvoir vivre une aventure ailleurs. Mais supposons qu'il existe une forme de vie quelconque sur Mars, croyez-vous qu'on nous ferait cette confidence si facilement ? Qu'il y ait eu, à une certaine époque, une vie douée d'intelligence sur Mars. Les photos prises par la sonde Viking 1 le 31 juillet 1976 le prouvent ; prises d'une hauteur de 1.278 miles au-dessus de l'hémisphère Nord, elles montrent le visage martien bien connu aujourd'hui (1,5 km de long), au côté gauche duquel se trouvent les formes symétriques de plusieurs pyramides. La seule présence de ces constructions est déjà suffisamment révolutionnaire pour ébranler dans leurs fondements toutes les religions du monde qui se prétendent telles. Ces constructions laissent entendre que l'humanité terrestre n'est pas unique, qu'elle est donc loin d'être le "chef d'oeuvre de la création". La présence de ces pyramides permet de prendre en considération deux thèses, qui anéantissent toutes les histoires racontées jusqu'ici sur le passé de l'homme. Les constructeurs de ces pyramides étaient, peut-être, nos ancêtres humains. Mais si c'était le cas, comment sont-ils parvenus de Mars sur la Terre ? Ils ont dû avoir des vaisseaux spatiaux, ils disposaient donc d'une technique très avancée, ce que nient, comme ont le sait, notre religion occidentale et notre science. Ou bien les constructeurs de ces pyramides n'étaient pas apparentés avec les habitants terrestres, ce qui signifie qu'ils apportent un témoignage d'une forme de vie extra-terrestre, ce qui est réfuté aussi par nos religions et nos sciences. Il est aussi possible que ces constructeurs n'aient pas disparu mais soient simplement descendus d'un étage. (par rapport à la surface de la Terre. Note du C.A.R.L.). Mais s'ils ont réellement colonisé la Terre à une époque quelconque, on peut supposer qu'ils forment, aujourd'hui, une des races principales de la Terre. Nous aurions le choix parmi les races assez diverses qui affirment que leur passé recèle un tel événement. Même les mouvements des canaux de Mars, inexpliqués jusqu'à nos jours par les astronomes, font pencher plutôt pour la thèse que Mars n'est pas une planète tout à fait morte. Si la planète Mars est vraiment morte, comme le prétendent quelques scientifiques, et s'il n'y a pas d'autre vie dans l'Univers si ce n'est sur Terre, si nous autres, hommes de la Terre, pouvons nous promener sans la moindre gêne (au moins déjà dans notre système solaire), la question suivante se pose : Qu'advint-il de la sonde "Phobos II" qui attérrit en 1989 sur Phobos ? Avant que la sonde ne pût poser un module d'attérrissage sur la petite lune de Mars "Phobos", le contact radio s'éteignit à jamais pour des motifs encore inconnus. Il en fut de même pour la sonde américaine Observer : Elle disparut le 24 août 1993. Elle avait eu, entre autres, pour mission de faire des nouvelles photos du visage martien et des pyramides. Etonnant, n'est-ce pas ? (Dans la vidéo américaine "Hoaglands Mars", vous trouverez des faits retentissants ; les adresses sont dans l'appendice.) Le mieux est que vous vous fassiez votre propre opinion sur Mars. Les villes souterraines envisagées dans l' ALTERNATIVE 2 existent bel et bien. On peut se poser la question suivante : si on a réalisé l'Alternative 2, pourquoi n'aurait-on pas réalisé l'Alternative 3 ? (L'histoire complète de l'Alternative 3 est décrite dans le livre de Leslie Watkins : "Alternative 3" (voir bibliographie). Elle y décrit les conditions qui régnent soi-disant sur Mars et son atmosphère. On y apprend qu'on nous a caché les informations. On y découvre la construction de bases, les mesures prises pour se protéger et se camoufler, l'aménagement prévu pour le personnel, les moyens de transport, le lavage de cerveau du personnel et les difficultés rencontrées. Dans l'appendice se trouve aussi une adresse où on peut se procurer le film.)

Ainsi que vous pouvez vous en rendre compte, le sujet des "OVNIs" a parfois une signification beaucoup plus terrestre et réaliste qu'on ne le croit. Vous comprendrez maintenant, je l'espère, pourquoi d'énormes sommes d'argent sont dépensées : il faut faire taire les chercheurs qui trouvent le secret de la construction d'engins volants fonctionnant grâce à un carburant qui ne peut être monopolisé ou taxé par un quelconque konzern sur notre Terre. Il y a, cependant, des personnes privées qui ont construit ces types d'engins et s'en servent, ce qui est, évidemment, loin de plaire aux multinationales. Il faut savoir qu'on ne peut pas acheter tous les scientifiques et tous les inventeurs. Certains ont compris que plutôt que de faire breveter une telle invention, il valait mieux la mettre aussitôt en production. Dans le cas contraire, ils auraient très vite quelqu'un à leur porte, soit pour leur acheter leur brevet et le faire disparaître à jamais, soit pour les menacer puisque l'élite ne désire pas que ces inventions voient le jour. Si vous vous intéresser de plus près à ce genre d'engins volants ou aux machines à "énergie libre", écrivez à l'adresse de l'éditeur qui vous fournira les renseignements nécessaires pour obtenir des contacts.

EDITIONS Félix : 65, Grande Rue 06140 Tourrettes-sur-Loup FRANCE Tél : (de la Belgique) : 0033 4/ 93 59 25 70 Fax : : 0033 4/ 93 24 12 363

Les Editions Félix ne présentent que des livres et des informations qui sortent de l'ordinaire. Nous nous adressons à tous ceux qui veulent se faire une idée précise de ce qui se trame dans les coulisses du pouvoir. Ces livres peuvent vous conduirent à envisager l'exigeance d'une manière radicalement différente.

Nous sommes reconnaissants à toutes les personnes qui soutiennent notre travail.

Avis aux chercheurs : utilisez internet, procédez par une recherche par mots clés par exemple : Free energy, au C.A.R.L. nous avons récoltés pas mal de données sur l'énergie libre, ces informations se trouvent sur ce site, bonne lecture !



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