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                                           L'éther et l'énergie libre

La théorie de l'éther

Le concept d'éther a été introduit par Aristote pour désigner le cinquième élément. Ce terme englobait à l'origine  tous les objets qui se trouvaient à l'extérieur de l'atmosphère terrestre. Il était le synonyme de ciel et a gardé ce sens dans la poésie. Il s'opposait aux quatre éléments qui composent notre planète : le feu, l'eau, la terre et l'air.

Les physiciens du Moyen Âge postulaient que l'éther est une substance qui remplit l'espace, que la lumière y est créée par un mouvements ondulatoires. L'éther est photophore. Il véhicule la lumière à travers le vide pour éclairer la Terre.

James Clerc Maxwell, mathématicien et physicien écossais (1831-1879), postulait que l'éther est une substance matérielle de structure plus fine que les corps visibles, qui existe dans tous les compartiments de l'espace, même ceux qui paraissent vides.

Newton (1642-1727) utilise ce terme non seulement pour le milieu qui emplit l'espace, pour les grandes étendues entre les planètes et les étoiles, mais aussi pour l'espace rempli de substance; pour lui l'éther est capable de transpercer les pores de la matière, même les atomes.

Maxwell formulait ses idées de cette manière :

"Quelles que soient les difficultés que l'on rencontre pour tenter de définir la constitution de l'éther, il n'y a aucun doute que les espaces interplanétaires et interstellaires ne sont pas "vides", mais remplis d'une substance qui existe en très grande quantité et qui est régulière."

Il n'y a pas  que les scientifiques du 19ième siècle qui formulèrent une hypothèse sur l'éther :

"Un jour nous constaterons que l'éther est l'élément fondamental, que les électrons et les noyaux d'hydrogène ne sont que des états de concentration dans l'éther... Il est possible que l'électron ne soit qu'une zone de perturbation dans l'éther, concentrée à un endroit. On peut également imaginer la même chose pour un noyau d'hydrogène."

C'est Bertrand Russell qui s'exprime ainsi dans son livre ABC of Atoms.

Le physicien américain Carl Krafft défend l'existence de l'éther dans son livre  The Ether and its Vortices (l'éther et ses vortex (tourbillons) paru en 1955.

L'expérience décisive qui devait prouver ou contredire l'existence de l'éther était basée sur une erreur fondamentale. l'erreur était la supposition que l'éther spatial est immobile et que la Terre devait le couper dans sa circonvolution atour du soleil. Un rayon en direction de la Terre doit avoir une vitesse différente d'un rayon à angle droit. En mesurant ces deux rayons on devait constater un déplacement de phase, mesurable avec des instruments.

L'expérience d'A. Michelson ne montre pas de déplacement de phase, pas d'interférence. La deuxième expérience, mieux préparée, ne montrait toujours pas de différence de vitesse de la lumière, qui était nécessaire pour prouver les vents d'éther. La conclusion fut : pas de vents, donc pas d'éther. Cette conclusion se révèle erronée, (Michelson reçut pour ses travaux le prix Nobel de physique en 1907) car on ne peut pas faire simplement disparaître l'éther.

"Si les rayons du soleil mettent huit minutes avant de toucher la Terre, il doit exister un milieu dans l'espace qui véhicule ces rayons."

Cette hypothèse, défendue par Sir Oliver Lodge était communément acceptée à son époque. L'éther est une réalité physique!

Une expérience fondamentale montre l'élasticité de l'éther, une propriété que Lodge explique de la façon suivante :

"Nous ne pouvons prouver l'existence de l'éther de manière mécanique, nous ne pouvons le saisir ou le transporter; nous pouvons le montrer par des moyens électriques, en chargeant un corps d'électricité, l'éther se met en tension. Il esaie dans ce cas de se "détendre", de revenir à l'état antérieur."

Cette expérience repose sur les essais d'abord infructueux du français Gassiot au milieu du 19ième siècle, qui faisait transiter l'électricité par des gaz raréfiés.
Plus tard, c'est l'allemand Plücker qui réussit à fabriquer des lampes de verres à vide, utilisées par le physicien Geissler pour ses expériences et que l'on appelle les lampes de Geissler. Si on réduit la pression atmosphérique d'une lampe jusqu'à 1 ou 3 mm de mercure et que l'on met des contacts de chaque côté sous haute tension, la lampe commence à briller d'une lumière violette. En soumettant cette lampe à un électro-aimant, la direction de l'incandescence varie avec le déplacement des pôles de l'aimant. C'est la première indication qu'il existe des particules subatomiques, des particules plus petites que l'atome.

Ces rayons cathodiques, comme on les appelle, avaient un inconvénient. Ils ne pouvaient traverser le verre de la lampe, jusqu'à ce que le physicien Hertz prouve que ces rayons pouvaient transpercer des feuilles métalliques et que le futur prix Nobel de 1905, Philipp Lenard, fixe une petite fenêtre d'aluminium au bout d'une lampe de Geissler, pour permettre aux rayons de se répandre dans l'atmosphère. Ces rayons Lenard provoquaient des tourbillons (vortex), des phénomènes de rayonnement et se comportaient comme s'ils aspiraient les particules de l'air (effet de tunnel).
Le physicien allemand Goldstein constate, en 1886, qu'à côté des rayons cathodiques se développent d'autres rayons, en direction opposée, qu'il appelle rayons canaux. L'étude de ces rayons permettra à Rutherford de découvrir les protons. Les électrons seront découverts par Thomson comme étant les particules effectives des rayons cathodiques.

Albert Einstein a révisé son jugement sur l'existence de l'éther en 1952, après que Dirac, prix Nobel de physique, eut prouvé l'existence de l'éther de façon mathématique. Einstein dit la chose suivante dans son étude Sidelights on Relativity :

"Beaucoup d'arguments étayent l'hypothèse de l'existence d'un éther. La négation de l'éther impliquerait que l'univers vide n'aurait aucune propriété physique. Les bases fondamentales de la mécanique contredisent cette affirmation. L'univers a, selon les lois de la relativité, des propriétés physiques. Dans ce sens, il existe un éther. L'espace dépourvu d'éther est impensable d'après la théorie de la relativité."

La contribution la plus importante dans la recherche contemporaine sur l'existence de l'éther vient du Professeur Marco Todeschini, scientifique italien. Voici des extraits de son livre Decisive Experiments in Modern Physics, Bergamo 1966 :

"J'ai pu prouvé que notre planète transporte le fluide éthérique dans ses révolutions autour du soleil, de la même façon qu'il transporte l'atmosphère. Ce fait nous donne la certitude que la Terre est le centre d'une sphère éthérique et que toutes les deux gravitent autour du soleil à une vitesse de 30 km/s."

Le concept théorique de Lodge a été non seulement confirmé par Todeschini, mais aussi par un scientifique brésilien qui porte le pseudonyme de Dino Kraspedon. Celui-ci parle de l'expérience de Michelson sur les vents d'éther et constate :

"Il n'a rien pu prouver. Le retard de la lumière que l'on devait constater à cause de la résistance des vents d'éther ne peut pas exister si l'éther se déplace à la même vitesse angulaire que la Terre. Quand deux corps ont la même vitesse dans la même direction, leur position relative reste la même. La vitesse en elle-même n'est pas importante pour un observateur extérieur; seule compte la vitesse relative entre les deux points dans ce système de référence."

Todeschini commente :

"Les derniers résultats expérimentaux détruisent les postulats de la vitesse constante de la lumière qui sont depuis 1905 la base de toute théorie. La vitesse de la lumière dépend du système de référence, tout comme la vitesse de tout ce qui est en mouvement. Le rétrécissement des corps et du temps, établis par l'équation de Lorenz et qui est la base de la relativité d'Einstein, n'existe pas en réalité."

Les piliers de la physique moderne, Einstein, Schrödinger et Heisenberg nous apparaissent sous un angle nouveau. Einstein n'a peut-être pas pris ses théories au sérieux, comme l'on fait ses disciples.
Dans une lettre à Schrödinger de 1950, il dit avec une certaine gaieté :

"Cher Schrödinger! La plupart des gens ne se rendent pas compte quel jeu dangereux ils jouent avec la réalité, réalité qui peut-être différente de ce que nous constatons. Si on considère la théorie des quanta comme définitive, la physique n'intéresserait plus que les épiciers et les ingénieurs, ce qui serait triste. Tout cela ne nous dis rien sur le caractère déterministe de cette théorie qui est, en fin de compte, une notion nébuleuse. Il est assez cruel de constater que nous en sommes encore au stade de nouveau-nés et il n'est pas surprenant que les gaillards aient du mal à l'avouer."

Il n'est pas étonnant que Fred Hoyle, professeur titulaire de physique à l'université de Cambridge, prédise l'effondrement de la physique, et propose d'introduire la notion de création continuelle de la matière.
Les recherches récentes sur l'éther ouvrent de nouvelles perspectives. La troisième révolution scientifique est en route.

L'énergie de champ gravitationnel

Les progrès réels de la science reposent sur le fait que la découverte de faits nouveaux contredit les dogmes et les théories en vigueur. Ces faits donneront lieu à des nouvelles théories et on se défera peu à peu des anciens dogmes.

La troisième révolution scientifique est à notre porte, comme le montre le titre du livre de H.A. Nieper Révolution dans la technique,  la médecine et la société (conversion d'énergie de champ gravitationnel).
Malheureusement la recherche est ralentie par certains facteurs qui unissent toutes les intelligences universitaires. Celles-ci défendent, en brandissant leurs titres, toutes les théories qui leur sont chères mais qui n'ont pas d'avenir. On est en droit de se demander s'il faut encore croire la science académique, à une époque où les décisions catastrophiques de ces représentants menacent gravement notre environnement, à l'échelle planétaire.

l'exemple de l'énergie nucléaire est en ce sens édifiant. Le cartel de l'énergie, dont le but est évidemment de défendre le statu quo de l'économie et de la science, pour satisfaire les investissements et les actionnaires, est un facteur de blocage considérable.

Tout le monde sait que les banques et l'industrie s'approprient les brevets d'inventions qui pourraient les menacer et les mettent à l'abri dans leur coffre-fort.

La recherche spatiale a conduit à des changements dramatiques dans la physique contemporaine. Les connaissances sur l'énergie universelle ont progressé. Walter Dornberger, ex-directeur de Peenemünde (centre de recherche allemand durant la seconde guerre mondiale sur les armes V (missiles V1 et V2), aborde dans son livre le sujet des convertisseurs qui transforment cette énergie en électricité :

"Le génie inventif de l'homme nous permettra non seulement de voyager dans l'univers à une vitesse inimaginable, sur une trajectoire fixe, comme les planètes et les étoiles. Il nous permettra aussi, grâce à l'énergie que l'on pourra tirer de l'espace, d'être autonomes et d'y séjourner longtemps en consommant peu d'énergie."

Nous allons aborder les point essentiels qui concerne le sujet de l'énergie gravitationnelle.

D'où vient le potentiel d'énergie nécessaire au fonctionnement de ces convertisseurs d'énergie cosmique?

L'énergie vient du champ G (gravitationnel), que l'on appelait auparavant l'éther, un milieu subnucléaire, connu également sous d'autres noms, tels que :

Prana (Inde) Note du C.A.R.L
Ki (Japon) Note du C.A.R.L.
Chi (Chine) Note du C.A.R.L
Ruach (hébreu) Note du C.A.R.L.
Energie bioplasmique (professeur Kirlian, URSS) Note du C.A.R.L.
Orgon (Wilhelm Reich)
Magnétisme animal (Mesmer)
Mumia (Paracelse)
Energie biocosmique (Brunler)
Energie éloptique (Galen Hieronymus)
Force X (Eeman, Angleterre)

Dans la physique moderne on trouve les définitions suivantes :

Mer de neutrinos (Dirac)
Radiant Energy (T.H. Moray)
Mer de Fermi
Energie primaire
Champ de tachyons (Feinberg)
Mer d'énergie cosmique (David Bohm) Note du C.A.R.L.
Energie du vide (Guth) Note du C.A.R.L.

Tous ces noms remplacent le terme d'éther, introduit par Aristote. Quel est le potentiel de cette forme d'énergie?

Le potentiel a été calculé par différents scientifiques de la façon suivante :

1.  10 exposant 33 erg /cm3, par Sir Oliver Lodge, Angleterre
2.  8,8 x 10 exposant 8, par le professeur Shinichi Seike, Japon
Pour les non scientifiques voici un chiffre équivalent :
1 litre d'énergie = l'énergie de 5000 litres d'essence.

Quels sont les scientifiques reconnus qui postulent pour l'existence de l'éther?

Paul Dirac (prix Nobel 1933, Angleterre)
De Broglie (prix Nobel 1929, France)
A. Michelson (prix Nobel 1907, USA)
Sir Oliver Lodge : Même en conservant la relativité nous n'avons pas besoin de nier l'éther.
J. Stark (prix Nobel 1919, Allemagne)
S. Arrhenius (prix Nobel 1903, Suède)
A.H. Compton (prix Nobel 1927, USA)
James Clerc Maxwell
P. von Lenard (prix Nobel 1905, Allemagne)
H. Yukawa (prix Nobel 1949, Japon)

En 1984 est paru un livre aux USA, d'un physicien italien qui porte le titre : La conspiration autour de la théorie de la relativité d'Einstein dans le complexe académico-gouvernemental des USA.

Qu'en est-il de la loi de la conservation de l'énergie en rapport avec ces convertisseurs?

Dans la physique conventionnelle toute absorption ou émission d'une particule virtuelle transgresse cette loi. Toute nouvelle émission fait apparaître une nouvelle quantité d'énergie. Même le neutron se décompose continuellement en particules de charge virtuelles, chaque particule de masse transgresse la loi de la conservation de l'énergie. Un pôle magnétique puissant est un facteur de stress supplémentaire dans le champ G (gravitationnel), il en est de même pour une forte charge électrostatique.

On peut créer un facteur de stress dans le champ G, avec un champ magnétique sans y introduire d'énergie extérieure. Tout dépend de l'habileté de l'inventeur. Il est également possible d'agir sur les deux composantes, électrostatique et magnétique, dans le temps, afin d'obtenir de l'énergie libre, avec le potentiel disponible aujourd'hui. (Thomas Bearden, Pegasus, Vol 2, janvier 1984).

Un convertisseur de cette sorte est-il en quelque sorte un perpetuum mobile? Nous connaissons les systèmes fermés de notre technologie, comme les machines à vapeur, les moteurs à explosion, etc. Dans la nature il existe des systèmes ouverts, tels que l'orbite des électrons autour du noyau atomique, les planètes et le soleil, tous des exemples de perpetuum mobile. Il en existe aussi des exemples artificiels, comme :
La roue de Bessler (1712, Allemagne)
Le pendule de Foucault (France)

Voici le commentaire de Martin Ruderfer dans sa conférence La rotation de la Terre est une source d'énergie libre, d'octobre 1981 au 2ième Symposium international d'énergies non conventionnelles, à l'université de Toronto, au Canada :
"Le concept primitif du perpetuum mobile est basé sur le fait que la machine produit plus d'énergie qu'elle n'en reçoit. Ceci n'exclut pas que les sources d'énergie peuvent être invisibles, comme le champ G, et qu'elles peuvent servir de source d'alimentation en énergie pour un perpetuum mobile. C'est précisément ce facteur qui permet à un mouvement perpétuel de se libérer des lois de la thermodynamique."

Post Scriptum

Si on tient compte de ce que disait Walter Dornberger, ex-directeur de Peenemünde, il y a 40 ans, sur l'énergie que l'on peut tirer de l'espace, et qu'on le compare avec l'inertie de la science officielle, on comprend la réaction du Dr. Richard Clark, Californie :

"Nous constatons que la science, telle qu'elle est pratiquée à l'heure actuelle dans les universités, fait partie d'une stratégie politique et sociale qui vise à contrôler la pensée et à défendre uniquement les intérêts du pouvoir en place. Cette élite est responsable de tous les mensonges de l'histoire, de la finance, de la médecine. Mais les mensonges de la science n'ont pas encore été complètement démasqués.

"La science est le miroir de la réalité et non pas un mythe pour défendre des intérêts technocratiques".
Nous sommes tous les otages des réacteurs nucléaires qui pourraient exploser et des problèmes de stockage des déchets radioactif. Notre ignorance est leur source de profit...

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