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La guerre invisible

Inimaginable, incroyable, ce sont les mots qui viennent à l'esprit quand on aborde le sujet de la guerre invisible et des armes développées dans les arsenaux ultramodernes. C'est  la raison pour laquelle on la relègue aujourd'hui encore dans le domaine de la science fiction. Il est difficile d'imaginer le scénario à suspens qui a été mis au point dans le plus grand secret et dont l'entendement dépasse la plupart des gens.

Les armes psychotroniques et le contrôle de la pensée, le lavage de cerveau sont les piliers d'une guerre d'un nouveau genre, sournoise et perfide. Cette guerre, que nous avons du mal à imaginer par les conséquences terrifiantes qu'elle induit, ébranle notre confiance dans l'avenir de l'humanité. Elle dépasse tout ce que nous pouvons imaginer. Pour nous, la vision d'une guerre nucléaire est déjà le début de l'Apocalypse. De plus, elle est financée par le contribuable, dont elle menace directement et volontairement l'idée de liberté.
Personne ne nous fera cadeau de notre liberté et de notre conscience. Ceux qui veulent nous en déposséder sont une minorité, qui nous est inconnue (les Illuminatis). Nous devons absolument démasquer ceux qui veulent nous priver de ces deux conquêtes de l'humanité, si nous voulons que notre civilisation survive.
Soyons conscients de ce que nous voulons préserver et ayons confiance en nos capacités. Il n'est pas encore trop tard.

Les armes biologiques et chimiques

La première explosion atomique au Nouveau-Mexique, en 1944, a bouleversé définitivement toutes les stratégies de guerre moderne. Les hommes qui ont construit cette bombe ont compris que rien ne serait plus jamais comme avant. La guerre conventionnelle est devenue un détonateur dangereux, l'arsenal nucléaire permet une riposte fatale pour la Terre entière. La population de la Terre est la cible de cette guerre.
C'est pourquoi l'avènement des armes nucléaires a rendu nécessaire le développement d'une autre forme de guerre, la guerre invisible. La seule façon sûre de mener une guerre est de la mener de façon silencieuse. Les recherches ont commencé à la fin de la deuxième guerre mondiale. Aujourd'hui ces armes invisibles représentent une menace beaucoup plus sérieuse pour notre survie, que l'holocauste nucléaire.
Ces armes ont été développées dans le plus grand secret, elles sont indécelables, même pour les victimes que l'on élimine ou transforme en robots. Il est temps de lever le voile et d'informer l'humanité sur la réalité de ce nouveau type d'armes.

Les gouvernements mettent au point des expériences sur leur propre population. En Russie, les victimes ne parlent jamais. Dans notre société libre, ils peuvent intenter des procès, s'ils prennent conscience de ce qui leur est arrivé.

Entre 1949 et 1969 un groupe de citoyens américains a été volontairement infecté par des agents de la CIA. Equipés de diverses protections, ces agents de l'opération Big City ont fait de certaines zones à Hawaï, en Alaska, à New York, en Floride et en Californie, leur domaine de recherche en armes biologiques. A bord d'une voiture, ils ont silloné quelque grandes artères new-yorkaises en laissant s'échapper des nuages toxiques chargés de bactéries et de virus. Peu après ont commencé des épidémies de méningite et de coqueluche.

Trente ans après une opération semblable, lancée à partir d'un bateau de l'US Navy dans la baie de San Francisco, les victimes ont commencé à intenter des procès contre le gouvernement américain. D'autres agents ont contaminé des centaines de personnes anonymes avec des virus de la syphilis. On a enregistré des cas semblables en Russie et en Angleterre. C'est l'accès aux archives de cette époque, 30 ans après les faits, qui a permis de faire connaître ces documents. Bien que cela ne soit que la pointe de l'iceberg, nous voyons la menace que représente cette technologie furtive.

Les armes biologiques ont passionné les maîtres de guerre depuis le début de notre histoire, quand les sorciers cherchaient à empoisonner l'ennemi. Hitler connaissait les ravages provoqués par les maladies intentionnelles durant les Croisades et l'Inquisition. C'est peut-être ce qui l'a retenu d'utiliser l'arsenal bactériologique mis au point par les scientifiques nazis.

Les Japonais n'ont pas eu ces scrupules. Après la deuxième guerre mondiale, ils ont fait l'objet de condamnations pour avoir utilisé des armes bactériologiques. Ces procès, qui étaient encore plus sensationnels que le célèbre procès de Nuremberg, ont été occulté par les journaux de l'époque. En Corée et au Vietnam, ce type d'armes a été utilisé couramment. A Semipalatinsk, une ville interdite de l'URSS, des germes ont été accidentellement libérés dans l'atmosphère, causant la mort de plusieurs centaines de civils. On développe à l'heure actuelle des armes composées à base d'ADN recombiné, destinées à devenir des armes bactériologiques contenant des virus mutants, c'est une perspective effrayante. Malgré tous les traités internationaux, les gouvernements occultent la vérité sur ce type d'armes.

A Denver, au Colorado, les habitants ont cru pendant un moment que leur ville allait devenir la Semipalatinsk américaine, quand on a découvert des fuites dans des fûts de gaz asphyxiant Weteye, de l'armée américaine. Le problème du stockage de ces bombes a été à l'origine d'une controverse dans l'Utah et au Colorado. Le gouvernement voulait entreposer les bombes quelque part dans l'Utah, puisqu'il semblait impossible de les neutraliser. Les citoyens ont commencé à protester énergiquement quand ils ont appris que le transport devait se faire par avion. A l'heure actuelle les fûts sont entreposés quelque part au USA. (Le C.A.R.L. se refuse de communiqué le nom de cette ville, pour des raisons de hautes sécurités concernant les populations avoisinantes, dûs aux vagues d'attentats terroristes survenus en 2003). Les émanations de poison n'ont pas cessé, les autorités locales continuent à se battre contre le Pentagone pour savoir ce qu'il adviendra de ces gaz mortels.

Les armes chimiques ont également une longue histoire, de la première guerre mondiale dans les tranchées, jusqu'au désherbant orange qui a empoisonné des milliers de viêtnamiens et de GI's durant la guerre du Vietnam. Des civils et des soldats souffrent encore aujourd'hui des suites de cet empoisonnement, (enfants nés malformés). L'oncle Sam ne fait rien pour les aider, puisque, officiellement, le gouvernement US ne reconnaît pas les dangers de ce produit.

En bafouant tous les traités internationaux, les soviétiques ont utilisé des gaz asphyxiants contre les rebelles afghans. Selon le général Nikolai Chernov, les soviétiques ont équipés toutes leurs divisions de camions TMS-65, capables de décontaminer les armes atomiques, biologiques et chimiques. Les troupes du pacte de Varsovie ont régulièrement fait des exercices avec des gaz toxiques.

Les américains disposent de 3000 pièces d'artillerie équipées de gaz Sarin et de milliers de mines chargées de gaz asphyxiants. Les gaz asphyxiants composent les 2/3 des 150.000 tonnes d'armes
chimiques que renferment leurs arsenaux. La CIA a également expérimenté des armes chimiques sur la population américaine. Malgré tous les procès et les révélations sur l'utilisation de ces armes, un lobby très puissant exige l'abolition des traités internationaux qui interdit l'emploi d'armes bactériologiques et chimiques.
Le développement de ces armes, couplé avec les progrès de la génétique, représente, par son côté invisible, un danger beaucoup plus grand que l'holocauste nucléaire.

Le contrôle de la pensée

La connexion entre la CIA et les Nazis (A voir sur ce site, le livre : La Guerre des Virus, ce livre n'est disponible uniquement par correspondance, il est interdit à la vente, ce qui est normal, la vérité n'est vraiment pas bonne à dire, ce livre est une BOMBE!

Les magiciens de la guerre froide font des recherches dans le plus grand secret depuis 40 ans pour mettre au point une technologie susceptible d'influencer la pensée humaine. A la fin de la seconde guerre mondiale, les responsables des services secrets nazis et américains se sont rencontrés pour mettre au point un réseau secret allié.

Reinhard Gehlen, chef des services secrets nazis, William Donovan, de l'Office of Strategic Service (OSS, ancêtre de la CIA) et J. Edgar Hoover, directeur du FBI, ont constitué des groupes de recherches, de médecins psychiatres, entre autres, dont la mission a été de développer des technologies capables de transformer les individus en robots. Les nazis ont travaillé dans ce domaine au Kaiser Wilhelm Institut, depuis les années 1920.

Les chercheurs américains ont fait des expériences sur des soldats pendant la deuxième guerre mondiale. C'est le projet Paperclip, (classé top secret à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, rendu public, (déclassifié) en 1975, l'opération Paperclip a été parrainée par le général Bolling, et il est intéressant de noter que dans son équipe d'agents des services secrets chargés de cette opération, figurait Henri Kissinger. A voir sur ce site, le livre : La guerre des virus, Sida et Ebola : le chapitre 18 : Les racines Nazies des Services Secrets américains et de l'industrie de guerre biologique. Pour en savoir plus sur le machiavélique Kissinger : voir le chapitre 11 du même livre. (note du C.A.R.L, Emmanuel Xédah), qui a révélé l'utilisation des recherches et de chercheurs Nazis par la CIA. Paperclip utilisait des noms de code tels que Bluebird ou Midnight Climax pour identifier les civils qui leurs servaient de cobayes. Les psychiatres américains les plus respectés ont collaboré à la mise au point de cette technologie en utilisant des citoyens américains innocents, qui ne se doutaient de rien.

Le contrôle de la pensée est l'arme par excellence, que tous les chefs militaires cherchent à maîtriser. Les méthodes ont été affinées depuis des siècles. La manipulation par le sexe, l'hypnose, l'utilisation de tous types de drogues et d'autres moyens permettent de provoquer certains comportements qui anéantissent la liberté individuelle. La CIA, malgré les démentis, a longtemps utiliser les techniques de lavage de cerveau. Il est à noter que ces expériences ont aussi été menées à Montréal (Québec, Canada) au Royal Victoria Hospital, dans l'aile psychiatrique, au cours des années 50, avec la bénédiction des autorités. Les victimes et les familles des victimes ont porté plainte et ont été indemnisées par les gouvernements concernés. L'indemnisation a été concrétisée au milieu des années 90, mais le mal est irréparable.

L'Institut de psychiatrie juridique Serbski de Moscou est un instrument redoutable pour le contrôle des citoyens soviétiques. Ces stratégies de contrôle de population ont remplacé le système pénal. Des procédés psychiatriques ont réussi à transformer la population en automates apathiques et résignés qui, en d'autres temps, s'était révoltée contre des conditions de vie insupportables. Cette technique a également été employée contre les dissidents.

Aux USA, comme le montre le rapport du Judiciary Committee du Sénat de novembre 1974, Les droits de l'individu et le rôle du gouvernement dans la modification des comportements, il est question d'instituer des méthodes inspirées des soviétiques, c-a-d remplacer le système judiciaire par une méthode de contrôle des comportements. Joe Holsinger, collaborateur du Congrès américain, qui a fait un rapport sur les événements de Jonestown en Guyane, où plus de mille membres de la secte de Jim Jones se sont suicidés, pose cette question :
"Y-a-t-il eu manipulation dans le massacre de Jonestown?"

Au moins 98% de la population est sensible aux manipulations de la CIA. Pourquoi ne pas penser qu'avec un taux de réussite si élevé, il serait possible de transformer les américains en une nation de zombies suicidaires et obeissants, comme l'ont démontré ceux qui sont morts à Jonestown? Et l'affaire de l'O.T.S. ne relèverait-elle pas d'une semblable manipulation? Il ne faudrait pas oublier que le Dr. Luc Jouret avait ouvertement dénoncé ces pratiques de la CIA.

Le signal de Moscou

Les soviétiques ont bombardés les USA pendant plus de 20 ans avec des micro-ondes, ce qui a déclenché toute sorte de maladies, des cancers, des problèmes cardiaques et des maladies psychiques.
L'épisode célèbre du pilonnage électrique intensif (micro-ondes) de l'ambassade américaine à Moscou par des services secrets soviétiques pourrait bien avoir été le coup d'envoi de la guerre invisibble des armes électromagnétiques.

En 1962 quand les américains cherchaient des micros derrière les murs de l'ambassade, ils ont découvert un rayon d'ondes microélectriques dirigé sur l'ambassade. Evidemment, le Pentagone et la CIA se sont préoccupés de connaître les effets de ces rayons sur les membres de l'ambassade, sur leur comportement et leur état neurologique. Pendant 12 ans ces faits sont restés secrets, même pour le personnel concerné.

Parallèlement la CIA a développé Pandora, le projet qui devait permettre de connaître les motivations et le but des attaques électroniques. Les agents qui faisaient partie du projet Pandora ont découvert que les soviétiques avaient fait beaucoup de recherches sur les micro-ondes, surtout sur les effets qu'ils pouvaient produire sur le mental et l'émotivité.
En 1965, l'Institute of  Defense Analysis, un institut financé par le Pentagone, a reconstitué grandeur nature ce qui s'est passé à Moscou pour analyser le problème.
L'agence pour les projets de recherches avancées sur les questions de défense, la DARPA : Defense Advanced Research Projects Agency, expérimente sur des singes Rhésus les effets des micro-ondes au Walter Reed Army Research Institute. Les résultats, classés secret-défense, confirment que les micro-ondes ont des effets qui affectent pronfondément le système nerveux et qui modifient le comportement de ces singes.

Au cours d'une rencontre au sommet à Glassboro, dans le New Jersey en juin 1967, le président Lyndon Johnson exige d'Alexei Kossygine, premier ministre soviétique, qu'il mette fin à ce que l'on appelle le signal de Moscou.

En 1969, les principaux chercheurs dans le domaine des micro-ondes se réunissent en symposium à Richmond, en Virginie, pour étudier les effets biologiques et les implications de ces micro-ondes sur la santé. Le Dr. Karel Marha, une sommité venue de Tchécoslovaquie, explique que les effets de ces ondes engendrent des maux de tête, une faiblesse générale, de la fatigue, des nausées, de l'irritabilité, des angoisses et des dépressions et une inhibition des capacités intellectuelles.

Ce n'est que par les révélations de Jack Anderson, en 1972, que l'opinion publique apprendra la vérité sur le "signal de Moscou". Quelque temps après, ce sont les russes qui accusent les américains d'utiliser des appareils électromagnétiques contre le joueur d'échec Boris Spassky, qui vient de perdre le championnat de monde contre Bobby Fischer.
Le Los Angeles Times du 7 février 1976 rapporte les propos de W. Stoessel, l'ambassadeur américain à Moscou, selon lesquels il aurait informé ses collaborateurs des effets nocifs des micro-ondes. Il souffrait lui-même d'une maladie mystérieuse qui ressemblait à une leucémie provoquant le saignement des yeux et des malaises chroniques. Selon Z. Brzezinsky, le personnel de l'ambassade américaine de Moscou détient le taux le plus élevé de cancers au monde. Malgré quelques interruptions, ce bombardement continue. Les services secrets américains n'ont jamais rien dévoilé à ce sujet. C'est maintenant, à l'heure où le projet Pandora est rendu public, que l'opinion est informée des effets de ces micro-ondes.
Personne n'est à l'abri de ces rayons. Les micro-ondes que l'on utilise, comme les ondes courtes à des fins thérapeutiques, sont dans certaines concentrations très nocives pour la santé. Des scientifiques américains ont établi un lien entre la fréquence des infarctus et l'exposition à de tels rayons.

Le signal d'Eugene

Dans plusieurs quartiers de la ville d'Eugene, dans l'état de l'Oregon aux USA, et à une altitude de 9000 mètres, on a enregistré un signal radio très puissant, peut-on lire dans les journaux locaux le 26 mars 1978. L'origine de ce signal est inconnu.

Voilà le premier message connu annonçant la présence d'ondes électromagnétiques dans des zones d'habitation. Dans les journaux, on peut lire le témoignage d'un homme, Thomas Deposkey qui souffre d'une mystérieuse maladie. Dans sa maison il perçoit des vibrations étranges. Il entend des voix et souffre d'insomnie. Un spécialiste d'hygiène industrielle, le professeur Marshall van Hart, venu enquêter sur place, souffre des mêmes symptômes après avoir séjourné quelque temps dans la maison. Il décide de faire un examen plus poussé du phénomène à l'aide d'une équipe scientifique. Il fait des mesures très précises qu'il révèle à la presse.
Le signal d'Eugene est un signal radio d'une impulsion de 4,75 Hz à 1100 cycles/seconde, mesuré à plusieurs endroits de la ville. On estime la puissance du signal à 500.000 Watts, ce qui est dix fois supérieur à la puissance légale autorisée. Ce signal a également été mesuré à Corvallis, petite localité voisine.
Le gouverneur Bob Straub et le sénateur Mark Hatfield, font accélérer une enquête, sous la pression publique, par le ministère de l'environnement (EPA). L'analyse des données conclut à une relation possible entre les rayonnements et les symptômes relevés.

Clifford Shrock, spécialiste américain des signaux radio, collaborateur de Textronic Inc. se montre interloqué : "Je n'ai encore jamais rien vu de semblable!" De toute part arrivent des réactions. Les gens appellent pour décrire des phénomènes identiques. C'est ainsi que les habitants d'Eugene, et d'autres villes, ont fait connaissance avec les armes électromagnétiques, ces rayons ultra-secrets.
La faute a été finalement attribuée, par un responsable de la Federal Communications Commission (l'organisme gouvernemental chargé des communications), à un émetteur de la marine américaine à Dixon, en Californie, on parlera du bobard de Dixon.
La marine dément. Les enquêteurs officiels finissent par enterrer l'affaire. Les habitants d'Eugene continuent à souffrir de ce signal qui reste une énigme. Marshall van Hart est convaincu d'avoir été victime de rayonnements, indices de cette guerre invisible. Malheureusement les habitants d'Eugene ne sont pas les seules victimes de ces rayons électromagnétiques...

Le Pivert

Au Canada les villes de Timmins et de Kirkland Lake ont fait connaissance avec ces rayons, appelés communèment le pivert par les radio amateurs du monde entier. Ils ressemblent étrangement au projet d'armes à pulsions électromagnétiques (EMP) développées par le Pentagone. Dans le plus grand secret, les russes et les américains ont perfectionné depuis des années l'utilisation de fréquences électromagnétiques pour développer des armes psychologiques mortelles.
Le 14 octobre 1976, toutes les communications radio du globe ont été interrompues par des signaux radio d'une grande intensité. Les émissions étaient irrégulières et alternaient entre des fréquences très élevées et des fréquences très basses.

L'URSS, après avoir été identifiée comme responsable, a présenté des excuses aux américains, aux anglais et à tous les pays qui avaient protesté. Leurs expériences étaient à l'origine de ces troubles. Peu après, les russes ont varié les longueurs d'ondes et les émissions de gigantesques ondes électromagnétiques stationnaires ont commencé...

On leur a donné le nom de pivert, à cause du son caractéristique qu'elles émettent. Le son ressemble au bruit que l'on peut faire en tapant sur une table avec un crayon, à une vitesse de 14 coups par seconde. Leur origine provient, d'après les calculs, des villes soviétiques de Riga et de Gomel, où les russes expérimentent, selon leurs dires, des générateurs Tesla.

Nous avons déjà pu constater les effets dévastateurs qu'elles ont provoqués aux USA. Certains leur attribuent la responsabilité de naufrages de pétroliers, en plus des dégâts déjà mentionnés. Leurs effets potentiels sur l'homme nous préoccupent davantage encore.
Le système nerveux est soumis, comme le globe terrestre, à un environnement électromagnétique. Il se trouve que la fréquence de résonance de l'ionosphère est presque identique à celle du cerveau humain. L'ionosphère est donc une onde porteuse parfaite, à partir de laquelle on peut atteindre le cerveau sans changer la fréquence d'émission.
C'est ce lien entre la sphère électromagnétique de la Terre et les fréquences de résonances du cerveau qui est à la base des armes électromagnétiques stratégiques. Tout le monde connaît les changements d'humeur et de disposition mentale que provoquent des bouleversements météorologiques. Imaginez la puissance capable d'influencer, en poussant une manette ou un bouton, non seulement le climat de l'atmosphère terrestre, mais aussi les ondes cérébrales de populations entières...

Nous pouvons imaginer les modèles géostratégiques qu'ont développés les américains et les russes, qui combinent des phénomènes géophysiques avec, en alternance, des mouvements d'humeurs de populations, des soulèvements politiques et des épidémies.
C'est pourquoi le pivert a plongé le monde dans la perplexité. Les services canadiens, impliqués au premier rang, attribuent les capacités des russes aux appareils développés d'après les théories de Nikola Tesla. Le Pentagone a reconstitué, ici aussi, l'expérience grandeur nature, afin de mieux cerner le problème.

Robert A. Golka, un admirateur passionné de Tesla, a fait de multiples expériences dans un hangar de l'US Air Force transformé pour la circonstance.

La transmission à grande distance d'électricité sans fil, la capacité d'influencer le climat et les différents rayons électromagnétiques font partie de ses recherches. Il est probable que le Pentagone fasse également des recherches sur les champs électriques à forte pulsation qui sont identiques à ceux des rythmes alpha et bêta du cerveau humain. L'application de ces recherches représente un danger pour les effets psychologiques potentiels qu'elles laissent entrevoir.

En 1972, les américains connaissaient déjà les progrès faits par les russes dans le domaine du contrôle électromagnétique des flux cérébraux. Les russes ont fait de longues recherches dans ce domaine, ils ont même étudié le domaine des perceptions extrasensorielles. Depuis 1960, L'US Defense Intelligence Agency (DIA) a réuni toutes les connaissances sur les travaus des russes dans des rapports secrets. Que contiennent ces rapports?

Il est possible de faire apparaître des sons, des mots entiers, même dans un cerveau humain, en envoyant des signaux émis par des appareils électromagnétiques de contrôle neurologique, à partir de bases militaires par exemple. (A voir sur ce site: Contrôle du processus biologique). Il est envisageable de provoquer des arrêts cardiaques, des crises d'épilepsie, toutes sortes de chocs émotifs et physiques à distance. Les américains ont tout fait pour combler leur retard dans ce domaine, en décidant de programmes de recherches tous azimuts dans les universités, dans les services de l'armée et dans les hôpitaux.

Un rapport de l'US Army, baptisé Analyse d'ondes microélectriques à des fins militaires, décrit l'utilisation des micro-ondes dans le but de contrôler les populations. Scott French, dans son livre The Big Brother Game de 1978, dénonce l'utilisation par l'armée française d'appareils à rayons indétectables, capables d'influencer le comportement de groupes humains.

Ces sirènes émettent des sons dont les fréquences sont imperceptibles à l'oreille. Elles peuvent déclencher des crises d'angoisses ainsi que des incontinences.

Un officier des services secrets américains à la retraite prétend que les Nazis employaient déjà des machines qui pouvaient exciter la foule au cours des grandes parades organisées à Nuremberg, à la gloire d'Hitler.

Un ancien responsable de la CIA, Richard Helms devait certainement avoir à l'esprit ce type d'armes dans sa déposition devant La Commission Warren le 19 juin 1964 :

"Les Soviétiques développent des armes sophistiquées qui leur permettront d'influencer les comportements de citoyens soviétiques, de façon à les mettre en harmonie avec les exigences du système politique. Cette technologie donne également accès au codage d'informations, dont le but est de manipuler la pensée du citoyen."
Source : The Warren Commission Final Report.

Autant les russes que les américains démentent officiellement toute implication concernant ces armes.
Les représentants américains aux conférences sur le désarmement ont toujours affirmé ne rien savoir, se contentant de les qualifier de "spéculatives et futuristes."

Charles Oleszycki, conseiller au ministère des Affaires étrangères, département du contrôle des armes et du désarmement, révèle dans son livre que le Département d'Etat a menti, qu'il est en réalité en possession de documents sur les armes électromagnétiques. Il ne pouvait ignorer les paragraphes secrets de l'accord SALT II, dans lesquels les russes proposent d'interdire les armes à infrason, les rayons de la mort et toute arme électromagnétique dont le but est la manipulation biologique.
Les russes n'auraient jamais introduit ce paragraphe s'ils n'avaient su que ces armes existent et les conséquences qu'elles peuvent avoir. Les rayons de la mort ont fait l'objet d'expériences en URSS.

A l'époque où il était député, Albert Gore Jr. prétend que des combats utilisant ces rayons ont déjà eu lieu. En 1976, les russes ont employés des rayons laser pour attaquer des satellites espions américains. Les essais de satellites tueurs remontent aux années 1960. D'après Gore une dizaine de satellites espions américains ont été détruits par les russes entre 1976 et 1978. Comme 70% des communications du Pentagone transitent par satellite, une guerre de l'espace, menée par les russes pourraient menacer le système de défense des USA.

Cette course effrénée aux armements, et tenue secrète, risque de nous transformer tous, peu à peu, en zombies.

Les armes psychotroniques

Thomas Bearden, lieutenant général à la retraite et ancien membre des services secrets, publie le magazine Specula consacré à la Psychotronique et à la bioénergie.

La psychotronique est l'étude des processus informatifs et énergétiques de la pensée en relation avec des conditions paranormales. Elle se préoccupe surtout des instruments technologiques nécessaires à son application.

Les techniques radio-neurologiques sont définies comme l'utilisation de rayons non ionisants (qui ne varient pas la charge électrique de leur cible) pour influencer le système nerveux, en opposition aux armes atomiques qui contiennent des rayons ionisants. Les ondes radioélectriques, longues et ultracourtes, en font partie. Leurs effets sont physiologiques et peuvent provoquer des changements biologiques et neurologiques.
Elles ressemblent à de la télépathie amplifiée de façon électronique et ont été considérées jusqu'à présent, comme faisant partie du domaine extrasensoriel. Bearden n'est pas un amateur, ses travaux sur les armes psychotroniques sont une référence. Certains de ses travaux sont entreposés au Defense Documentation Center, à Washington

L'histoire de la publication de son livre The Excalibur Statement est digne des meilleurs romans d'espionnage à la James Bond. Le livre devait paraître en 1978, mais des retards inexpliqués empêchent sa publication. Les personnes qui travaillent à l'élaboration du livre connaissent des destins étranges...
Une des péripéties connues, est le meurtre mystérieux attribué à Ira Einhorn, organisateur du réseau, se retrouve accusé du meurtre de son collaborateur qu'il a retrouvé dans une caisse au fond de son jardin. Le FBI l'accuse formellement. Ses dénégations ne changeront rien. Malgré les controverses exposées dans la presse et une longue bataille juridique, Einhorn a été reconnu coupable et condamné, preuves à l'appui.

Aujourd'hui, il vit retiré, certain d'avoir été victime d'un complot. Qui a pu le fomenter? Les services secrets américains, russes et britanniques? Einhorn donnait ses informations à tout le monde. Il pense qu'on a tout fait pour l'empêcher de communiquer divers documents concernant les brevets de Tesla dont certains services étrangers auraient pu profiter.

Le cas Einhorn est révélateur de la façon de travailler de la cryptocratie américaine. Elle mène sa guerre invisible contre son réseau, de la même façon qu'elle a manipulé les mouvements pour les droits civiques dans les années 60.

Le projet Styx

Le Styx est un des fleuves des ténèbres dans la mythologie grecque. Après avoir traversé le Léthé qui efface tout souvenir, le mort traverse sur le Styx, la porte qui mène aux enfers.

Quel nom démoniaque pour un projet militaire! C'est pourtant bien le nom que porte le premier projet du Pentagone qui implique des armes invisibles, le projet River Styx.
Les armes appelées River Styx ont été les prototypes des armes électromagnétiques américaines. Elles utilisent des micro-ondes et ont pour fonction d'agir sur l'organisme en y créant des dégradations de tout type. Pour leurs concepteurs, il existe des avantages paraphysiques que l'on peut obtenir par une utilisation précoce contre tout ennemi. Il existe des documents qui montrent clairement que les américains étaient bien engagés dans ces recherches en 1957, ce qui indique que malgré toutes les dénégations sur leurs connaissances des armes électromagnétiques, le Pentagone et la CIA avaient même commencé leur développement au début des années 50.

Il est facile de comprendre les raisons qui ont poussé toutes les administrations concernées à garder le plus grand secret.
L'opinion publique ne pourrait jamais tolérer le développement et l'utilisation d'armes aussi démoniaques. Leurs effets sont aussi dévastateurs que les bombes atomiques pourtant, elles n'ont été que des prototypes d'armes nouvelles qui nous menacent aujourd'hui.

Lowell Ponte, chercheur au Pentagone, est un des rares scientifiques du gouvernement à parler ouvertement des progrès de cette science. Il confirme l'existence de signaux qui influent sur le champ magnétique terrestre, les ondes stationnaires géantes.

Les services secrets canadiens abordent le sujet dans une dépêche d'août 1975, en parlant de l'introduction d'ondes électromagnétiques dans l'environnement. C'est peu. On ne trouve aucune indication sur les possibilités de combiner des ondes stationnaires avec des rayons capables d'influencer le cerveau humain, rien sur les micro-ondes qui entendent, sur les armes électromagnétiques pulsées. Tous ces projets font partie du réseau très développé et toujours secret des recherches sur les armes invisibles.

Joe Delgado, un physiologue qui a fait partie de la CIA, nous met en garde :

"Ce qui nous attend est plus dangereux que la destruction nucléaire. Nos connaissances sur le cerveau nous permettent d'envisager les pires scénarios. Le danger qui nous menace est la possibilité d'intervenir directement sur les fonctions cérébrales pour les manier à notre guise, c-a-d faire de l'homme un vrai robot sans même que celui-ci s'en rende compte."

Delgado doit savoir de quoi il parle, puisqu'il a été à l'origine de recherches sur les stimulations électriques du cerveau. Il a mis au point, en collaboration avec des psychiatres, des procédés qui permettent de téléguider des êtres humains par signal radio, à l'aide de puces implantées dans le cerveau. Ses théories font l'objet de recherches à l'Université de Los Angeles, sous la tutelle du Los Alamos Scientific Laboratory.

Le Dr. Ross Adey, un collaborateur de Delgado qui travaille sur les nouvelles technologies de contrôle cérébral, prétend avoir reçu le prototype d'un appareil appelé LIDA, construit par les russes. Cet appareil est enregistré au bureau américain des brevets sous le numéro :
3.773.049

Il a été conçu de telle sorte qu'il peut transmettre à distance les trois composantes de la douleur : le froid, la chaleur et l'électricité. Adey a été choisi par les russes pour introduire cet appareil dans la recherche américaine.

Le plus acharné des scientifiques à vouloir élaborer une Amérique de zombies est un des psychiatres les plus réputés aux USA, le Dr. Louis Jolyon, Jolly West. Il a été un membre influent du projet top secret de la CIA, qui vise le contrôle de la conscience, le projet : MKULTRA. Ce projet comprenait des techniques de lavage de cerveau et il est parmi les plus confidentiels de l'US Air Force.

West soutenu par Ronald Reagan, qui était à l'époque gouverneur de Californie, a proposé de transformer une station de l'armée en station d'émission de micro-ondes. Les propositions de West incluaient également l'implantation de puces électroniques dans le cerveau, le contrôle biologique des cycles menstruels de la femme, la castration chimique et le remplacement du système pénal américain par un contrôle psychiatrique.

C'est du haut de sa chaire de psychiatrie et de son poste de directeur de l'institut de neuropsychiatrie de l'Université de Los Angeles (UCLA) que West poursuit ses activités secrètes de manipulation de la pensée...

Le film de Michael Crichton, The Terminal Man, est basé sur un fait réel. L'homme, une victime du Dr. Frank Ervin, ami de West et de Delgado, affirme avoir été soumis à un traitement aux micro-ondes.

Il est étonnant de constater que la CIA finance des recherches universitaires pour mettre au point des appareils à micro-ondes, capables d'envoyer des rayons qui peuvent déclencher une hypnose à distance, en faisant pénétrer des voix dans la tête d'un individu, ou capables de provoquer une amnésie totale sur la victime.

Les défenseurs de ces techniques psychiatriques ont toujours fait partie de l'entourage proche des présidents américains. Les présidents Nixon et Ford ont été conseillés par le Dr. Arnold Hustschnecker qui avait été, en 1926, élève de l'Institut Kaiser Wilhelm, financé par les Nazis et où ont été initiées les premières recherches sur les techniques des micro-ondes.

Le conseiller de Jimmy Carter, le psychiatre Dr. Peter Bourne, a fait une grande partie de sa carrière dans la recherche de la guerre psychologique et des technologies des micro-ondes. Certains journalistes ont enquêté sur le pouvoir dont celui-ci aurait usé pour pousser Carter à prendre des décisions surprenantes. Le Dr. West faisait partie des collaborateurs proches de Ronald Reagan.

Si nous ne mettons pas un terme à la présence de ces psychiatres de la guerre invisible dans le cénacle des plus hautes décisions politiques, nous prenons le risque de voir bientôt une Amérique, ainsi que le monde peuplé de zombies.

Le cas Toth

Il n'y a qu'un pas entre les nuages de bactéries mortelles, les armées de mutants contrôlés par des signaux radio et les armes psychotroniques qui sont les formes les plus agressives d'influence sur l'énergie psychique.

Les chercheurs ont toujours progressé dans cette direction, mais ce n'est que par hasard, lors de l'arrestation du correspondant du Los Angeles Times, Robert Thot par le KGB en 1977, que ces agissements ont été dévoilés. Toth a été jeté en prison pour avoir voulu espionner des secrets militaires sur la parapsychologie.

Des documents classés secrets, tels que des rapports entre le ministre des Affaires étrangères Vance et l'ambassadeur Toon, ont été rendus publics à la suite des intérrogatoires que Toth a subis. Ils montrent à quel point nous devons êtres vigilants sur tout ce qui concerne les armes psychiques. La presse a mis l'accent sur son droit à la libre expression et a ignoré le contenu des documents que Toth s'était procurés. Beaucoup de gens ne voulaient pas prendre au sérieux les allégations des secrets militaires de type parapsychologique.

Les avancées de la recherche moderne ont des conséquences philosophiques d'une ampleur sans précédent. C'est la physique moderne qui exige une redéfinition de la notion de réalité, puisqu'elle remet en question notre concept de l'existence. Si le projet MKULTRA, sur le contrôle de la pensée, a été le secret le mieux gardé de la guerre froide, il en est de même pour la guerre invisible : C'est son aspect inimaginable, dépassant l'entendement, qui lui sert de couverture.

Les techniques de désinformation, un secret qu'on a escroqué est mis en circulation pour mettre l'ennemi sur une fausse piste, sont le fer de lance des services secrets.

Mais dans ce cas, la guerre psychotronique n'est pas du bluff, ce serait une erreur de le penser. Les esprits technocratiques sont soutenus dans leurs recherches de solutions militaires par de très pointus théoriciens de la psychiatrie.

La paraphysique

Les russes ont toujours fait des recherches sur la parapsychologie. Staline (qui à liquidé plus de dix millions de gens) avait toujours à ses côtés son propre médium, Wolf Messing. (A voir sur ce site : Le livre : "Les sociétés secrètes, le chapitre : Adolf Hitler et la société Thule.")
Les stratèges militaires ont, de tout temps, prisé la magie noire en essayant de manipuler les énergies psychiques de leurs adversaires . La CIA a commencé ses propres recherches au début des années 1950.

A l'heure actuelle, la parapsychologie s'est transformée en un domaine pointu de la technologie qui porte le nom de paraphysique.
La Defense Intelligence Agency (DIA) analyse les connaissances actuelles de cette science et élabore des projets d'espionnage psychique, d'hypnose télépathique et même de sabotage psychique d'installations militaires ennemies. Ces techniques de bioénergie font partie des projets les plus secrets à l'heure actuelle.

Quand deux médiums américains (l'ex-diplomate de l'ONU Ingo Swann et l'ex-chef de la police de Burbank (Californie), Patrick Price) ont réussi à infiltrer les systèmes de sécurité du Pentagone, ont s'est aperçu que les mesures de sécurités existantes étaient devenues obsolètes. Price et Swann ont été membres actifs du projet Scanate initié par la CIA. Price est mort dans des conditions obscures, peu après la fin du projet. Swann a pu continuer ses recherches au Stanford Research Institute, de façon très discrète, car il craignait pour sa vie.

Le gouvernement considère que la paraphysique fait partie du domaine secret comme les armes à micro-ondes. En 1979, le député républicain Charles Rose affirme avoir été témoin des agissements de Swann et fait la demande d'une enquête devant la commission du Congrès. Rose est aujourd'hui étonnamment silencieux. Mais la course aux armes psychiques continue.

Le célèbre psychologue Wilhelm Reich a été emprisonné parce qu'il avait publié certains de ses travaux sur la paraphysique. Les responsables des médias font depuis plus de trente ans de la désinformation au sujet de ces armes pour des raisons de sécurité nationale. Reich est considéré comme fou. L'énergie à orgons pour laquelle il a effectué des recherches, appelée aussi bioénergie par le gouvernement, fait, par contre, l'objet d'études poussées.

Malgré l'implication vraisemblable de la CIA dans le massacre de Jonestown, les psychiatres qui travaillent sur les projets de contrôle de la pensée accusent les religions de pratiquer des lavages de cerveau. On peut comparer la campagne de désinformation des autorités américaines sur les armes psychiques à celle faite pour le projet Manhattan. Peu de temps avant Hiroshima, les scientifiques de l'atome tournaient en dérision ceux qui parlaient des dangers de la force nucléaire, sans parler de la bombe atomique.

L'exemple de Martin Luther King et d'autres combattants pour les droits civiques montre bien jusqu'où le FBI et la CIA ont été pour étouffer ces mouvements et les discréditer. Au travers des projets tels que les opérations Cointelpro et Chaos, ils ont réussi à déstabiliser les mouvements pacifistes et les campagnes pour les droits des minorités, en éliminant physiquement leurs leaders.

En mai 1983, au deuxième Symposium sur les techniques à tachyons d'Atlanta, le public a pu voir un film sur les effets physiques de certaines armes, dites de Tesla.

Le physicien israélien Sidney Hurwitz et le physicien américain Guy Obolensky ont travaillé pendant des années pour la défense israélienne. En 1969, Hurwitz avait déjà mis au point une arme Tesla, capable d'accélérer ou de ralentir de façon dramatique tous les objets métalliques dans un rayon de 200 à 300 mètres, par la force gravitationnelle. Un pistolet peut soudainement peser plusieurs kilogrammes de plus, par rapport à son poid initial, les matériaux se dilatent ou se contractent, de telle sorte que l'on ne peut plus utiliser les munitions. En augmentant l'énergie, le pistolet finit par exploser.

Souvenez-vous! Quand les israéliens ont libéré les otages prisonniers à l'aéroport d'Entebbe (Ouganda) en 1972, ceux-ci ont affirmé n'avoir entendu aucun coup de feu avant leur libération. Les libérateurs sont arrivés sans se faire remarquer et ont pu rapidement cacher les otages dans les avions qui les attendaient. A cette occasion, les israéliens ont utilisé des armes Tesla, construites par Hurwitz. Celles-ci ont été fabriquées à Toronto (Canada) et tout de suite mises à la disposition des israéliens.

Elles permettent, par des effets magnétiques, d'agir sur le comportement de soldats, par exemple, qui se retrouvent comme tétanisés et déconnectés de l'état de veille, ce qui les rend dociles et inoffensifs. Ces procédés sont très utiles pour tous les défenseurs et supporteurs de l'ordre établi, vu sous l'angle de la stratégie militaire. Les russes en sont bien évidemment conscients. On peut penser que c'est pour cette raison qu'ils ont diminué l'aide aux mouvements terroristes dans le monde entier et sans doute aussi pour se consacrer à la modernisation de leur économie. Les russes aisés ne sont plus aussi facilement manipulables par un système socialiste agressif.

Thomas Bearden :

"En 1968 Litisitsyne, un responsable des programmes de recherches soviétiques dans le domaine médical publie une étude dans laquelle il affirme que l'URSS a réussi la transplantation, par induction, d'images et de sentiments dans un système biologique, c-a-d dans le cerveau d'un être humain. Il est même possible de déterminer si le patient prend conscience du phénomène ou non."

Litisitsyne est un spécialiste de la théorie des ondes cérébrales non linéaires. Son étude révèle que les russes ont déchiffré le code génétique du cerveau humain :

"Nous avons déterminé 23 longueurs d'ondes dans l'électroencéphalogramme, dont 11 sont indépendantes. Si on manipule ces 11 dernières, on peut agir sur le fonctionnement du cerveau, comme il le ferait lui-même."

Litisitsyne conclut en affirmant qu'en combinant les signaux ELF, auxquels on accroche des signaux magnétiques dont la fréquence est voisine de celle du cerveau, il est possible d'influer directement sur le comportement d'individus exposés à ces signaux, tout en déterminant si les individus en sont conscients ou non. Les informations perçues par le cerveau sont traitées par celui-ci comme s'il s'agissait de données internes. des mots, des phrases, des sentiments et toutes sortes de comportements peuvent être induits de façon directe, les cibles biologiques interprètent ces états comme s'il leur étaient propre.

Un psychiatre célèbre, le Dr. Thomas Szasz, qui avait publié des informations sur les agissements de ses collègues, devint la cible d'une campagne de dénigrement. Il a contribué au fondement du Parti des Libertés, dont le programme exige l'arrêt des recherches sur le contrôle de la pensée, avec l'argent du public. Le financement de recherches qui ont pour but de réduire le contribuable en esclavage, est une cruelle plaisanterie que l'on veut imposer à la population américaine. Le budget de ces recherches s'élève à plusieurs milliards de dollars.

Il est important de prendre conscience de tous ces événements pour réagir. Des scientifiques respectueux de l'éthique et des gouvernements responsables pourraient prendre des mesures contre cette guerre invisible. Mais au bout du compte c'est de vous que dépend votre propre survie. Pour vous aider, ne comptez ni sur les gouvernements, ceux-ci vous menacent, ni sur les psychiatres, car ils sont à la solde de ceux qui développent ces armes. Notre liberté dépend de nous-mêmes et de la CONSCIENCE que nous avons des événements. En êtes-vous CONSCIENTS?

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