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Les ondes stationnaires

Les indices confirment que le 4 février 1983 a été le jour J, le jour de la première véritable confrontation électromagnétique. Le résultat a provoqué un tel chaos que la pulsation normale de la terre s'est déréglée et le temps s'est arrêté.

Ce 4 février, selon les scientifiques, a été le jour où les ondes ELF, envoyées par les américains, sont entrées en contact avec les ondes stationnaires soviétiques; des ondes qui traversent la terre et qui sont projetées dans l'espace à haute altitude. Les scientifiques prétendent que ces ondes peuvent provoquer des tremblements de terre, des tornades, des tempêtes électriques, des périodes de chaleur dans des régions habituellement froides, des inondations dans des régions où il ne pleut pas beaucoup et des sécheresses là où l'air est normalement humide

On pourrait croire à un scénario du film de la guerre des étoiles. Ce sont malheureusement des faits, c'est une guerre bien réelle et non de la science fiction. Un des premiers scientifiques à aborder le sujet a été le Dr. Andrew Michrowsky, scientifique canadien. Avec un groupe de chercheurs, il a mis en évidence les preuves d'une guerre contre les USA. Il est à la tête d'une organisation qui s'appelle PACE : Planetary Association for Clean Energy (Association planétaire pour l'énergie propre).

PACE explique qu'en créant de puissant champs magnétiques à très basse fréquence, on peut générer des ondes stationnaires. Quand ces ondes deviennent visibles, elles forment de gigantesques bulles ovales qui se forment à la surface de la Terre. Une partie de ces bulles se trouve sous terre et elles se propagent jusqu'au centre de la Terre. La partie supérieure s'élève dans l'ionosphère et même plus haut encore.
Résultat : les Jet Stream sont détournés de leur trajectoire, les signaux hertziens sont brouillés, les appareils électriques ne fonctionnent plus, les émetteurs explosent, on pense même que le cerveau peut être touché et que des leucémies peuvent apparaître. Il y a donc un danger réel pour les êtres humains, les plantes et les animaux, puisque ces rayons électromagnétiques rayonnent à des fréquences voisines de celles du cerveau humain.

Le chercheur J. Morrisson l'exprime ainsi :
"dans le cerveau, l'activité électrique se situe dans une bande de 0.01 à 40 Hz. Les potentiels bas du cerveau vibrent à 0.01 Hz.

"Les rythmes alpha vibrent à des fréquences entre 8 et 12 Hz, les rythmes bêta de 13 à 40 Hz, les rythmes thêta de 4 à 7 Hz et les rythmes delta de 0.5 à 3 Hz.
Les neutrons vibrent à une fréquence contenue entre 100 et 1000 Hz, les muscles des entrailles à 1 Hz, les muscles du squelette à une fréquence entre 4 et 12 Hz, le coeur à 1 Hz."

On comprend pourquoi ces ondes peuvent être nocives pour l'homme.

Morrisson explique :

"Les systèmes biologiques, y compris les êtres humains,  sont très sensibles aux vibrations de basse fréquence. Comme les poissons hors de l'eau, les hommes qu'on soustrait aux champs électromagnétiques naturels de la Terre perdent leurs repères temporels. Le corps humain est ancré comme dans une toile d'araignée dans un système tridimensionnel.(L'on peut parler de treillis Cosmo-tellurique, note du C.A.R.L)

"la sécrétion d'hormones, le sommeil, les écarts de température, la digestion, d'innombrables fonctions de l'organisme sont soumises à un schéma qui est tributaire du champ magnétique à basse fréquence. Si celui-ci disparaît on voit surgir des dysfonctionnements chaotiques de l'organisme. Si on remplace ce champ naturel par un champ artificiel, l'organisme essaie de s'y adapter et tente d'équilibrer ses rythmes internes. En le soustrayant complètement à un champ magnétique, l'organisme se dérègle complètement, de façon beaucoup plus dangeureuse que pour un champ artificiel.

Un exemple de cette intervention des soviétiques sur l'organisme humain est décrit par le Dr. Andrija Puharich dans son étude scientifique, L'art de la guerre magnétique.

"Il est possible de créer des fréquences qui provoquent des états insurrectionnels dans la population. On pense pouvoir créer de tels effets observés en laboratoire, sur un plan global, en employant l'émetteur amplifié de Tesla, de sorte qu'une grande partie de la population peut être influencée électroniquement à avoir des comportements instables."

Le Dr. Michrowsky avait déjà décrit dans une lettre de février 1978 les méthodes utilisées par les soviétiques pour l'élaboration de gigantesques ondes stationnaires :
"Durant l'hiver 1976/1977, l'URSS a réussi à déterminer la fréquence de résonance électrique de la Terre, ce qui a permis de générer des champs magnétiques ELF relativement stables et localisés géographiquement."

Il décrit le mécanisme des fronts stationnaires (mécanismes de blocage du climat) au-dessus de la côte ouest des USA , entre Baja California, et la côte de l'Alaska :
"A la fin de l'hiver 1977/1978 les scientifiques soviétiques ont eu la bonne idée d'envoyer une série d'ondes stationnaires, qui s'étendaient comme un mur infranchissable sur toute la façade ouest du continent américain, de Valparaiso au Chili, jusqu'à la pointe ouest de l'Alaska.

"C'est à partir d'Angarsk, en Sibérie, que cette immense colonne a été lancée, elle a provoqué un changement climatique qui s'est répercuté sur toute la planète. Le temps à l'est de cette structure est devenu sec, celui à l'ouest, humide. Comme ces ondes tournent dans le sens des aiguilles d'une montre, les vents d'ouest ont été aspirés dans la haute atmosphère et un courant descendant de la haute atmosphère s'est abattu sur l'autre versant."

dans un article intitulé Le secret de Tesla, paru en décembre 1981 dans la News Letter de la Planetary Association for Clean Energy, PACE, Bearden révèle d'autres détails sur les émetteurs Tesla. Il parle d'une autre forme d'onde, dont le comportement est semblable aux mesures des ondes ELF, faites par William Bise et Al Bielek dans le Pacifique nord-ouest :
"Les ondes Tesla peuvent se mouvoir dans l'espace, ou le temps est linéaire, se mouvoir seulement dans le temps, ou dans une combinaison des deux."

Dans ce dernier cas, elles évoluent dans l'espace avec un comportement étrange, ou elles vibrent dans l'espace sans bouger mais en modifiant l'écoulement du temps, en le dilatant ou le contractant, ou elles se déplacent de façon uniforme dans l'espace, le temps s'écoulant également de façon régulière.

On les dirige sur un point et elles commencent à se déplacer uniformément dans l'espace en prenant de la vitesse. Puis, elles ralentissent et se retrouvent à l'état stationnaire. On obtient ainsi une colonne d'ondes stationnaires.

La fréquence 31, 5 Hertz

A la fin de janvier 1982 le Dr. Michrowsky déclare que le signal ELF des soviétiques, plus connu sous le nom de pivert russe chez les radio amateurs du monde entier, a été réglé sur 31, 5 Hertz. Les russes ont apparemment réussi à améliorer l'efficacité de leurs méthodes, si on observe les effets dévastateurs de leur nouvelle fréquence. Cette fréquence de 31, 5 Hz a généré en-dessous des ondes stationnaires géantes des zones de basse pression qui s'étendent d'Edmonton (dans la province de l'Alberta au Canada) jusqu'au Nouveau-Mexique. Elle permet d'atteindre une altitude plus élevée et désorganise complètement le Jet Stream.

Les russes ont commencé leurs émissions d'ELF le 4 juillet 1976, le jour du bicentenaire de l'Indépendance des USA. Ce n'est bien évidemment pas un hasard, car elles faisaient partie d'un programme de guerre totale contre l'Amérique. Peu après le début des premières émissions, on a commencé à constater un changement des conditions climatiques en Amérique du nord.

William Bise, ingénieur du Pacific North-West Center à Portland, Oregon, se consacre aux recherches sur les rayons non-ionisants et est à l'origine de la standarisation plus stricte des micro-ondes.

En compagnie d'Al Bielek, il tient plusieurs conférences sur les ELF devant la US-Psychotronics Association. A cette organisation appartiennent des scientifiques, des ingénieurs, des inventeurs et d'autres chercheurs. Une de ces conférences porte le nom suivant : Signaux ELF naturels et artificiels dans le nord-ouest du Pacifique et phénomènes psychiques. Cette conférence a son importance, puisque c'est Bielek qui a découvert le changement de fréquence des russes. Peu après El Nino est apparu. Bielek explique que les russes ont construit un nouveau site pour l'installation d'émetteurs amplifiés Tesla. Jusqu'à présent les émissions provenaient de Riga et Gomel, en Russie. Voici un extrait de cette conférence :

"Au mois de juillet 1979, on a mesuré des signaux magnétiques dans le nord-ouest du Pacifique, dont l'amplitude était de 15 à 30 Hz. D'après les descriptions que Nikola Tesla nous a laissé sur ces ondes, il a été possible de localiser l'emplacement de l'émetteur. Il s'agirait du plateau d'Usturt, en Russie.

dans son commentaire sur la fréquence de 31, 5 Hertz, Bielek dit :

"Cette fréquence a été choisie parce qu'elle est située sur la quatrième harmonique de la résonance de Schumann de l'ionosphère terrestre, ce qui est d'une importance considérable. La résonance de Schumann est la fréquence de la résonance naturelle de la Terre.

Le gouvernement canadien a confirmé, d'après des recherches propres, que le plateau d'Usturt était bien le point d'émission de ces ondes. Il semble que les russes disposent de nouveaux émetteurs qui ont des capacités gigantesques."

Il décrit ensuite les premières expériences qui ont permis de mesure les rayons ELF à Portland en 1979 :

"Les premières émissions étaient de 10 et 30 Hz. Nous avons observé que l'intensité maximale des ondes, qui semblaient provenir de la haute atmosphère ou du centre de la Terre, ont provoqué une excitation du noyau terrestre et de l'ionosphère magnétique. En partant du fait qu'il y a un léger retard de vitesse de phase entre le noyau de la Terre et la surface, comme entre la magnétosphère et la surface de la terre, il est possible d'obtenir une onde verticale. Celle-ci peut pénétrer la croûte terrestre et peut s'élever à une altitude de 500 kms. Tout cela ressemble à une onde stationnaire en léger mouvement. On peut s'attendre à un modèle hétérodyne, les ondes ascendantes et descendantes convergentes sont capables de créer des ondes sonores qui peuvent atteindre des fréquences audibles."

Plus loin, il revient en détail sur les théories sur lesquelles s'appuient la production de ces ondes stationnaires géantes :

"Cette notion est apparentée à celle de Soliton-Antisoliton en physique : si on couple et mélange des ondes magnétiques et électromagnétiques duales dans un modèle d'interférences constructif, ceci sur le côté opposé de la Terre, il se forme au couplage des deux ondes une onde stationnaire verticale se déplaçant sur les côtés.

"En ajustant précisément la vitesse de répétition et la durée de l'impulsion, ces ondes peuvent être accrochées aux lignes de force de la Terre. L'onde verticale traverse la Terre et se prolonge dans l'espace en accumulant de l'énergie cinétique provenant du système de résonance naturelle de la Terre. En la raccourcissant de 30 à 31, 5 Hz, on améliore la distance entre le centre et la surface de la Terre. Voilà pourquoi les russes ont choisi précisément cette fréquence."

Les organismes meurent

Plusieurs journaux relatent le changement de comportement chez les animaux, surtout dans la zone centrale de l'océan Pacifique. Ce changement s'est manifesté en parallèle à l'évolution d'El Nino.

Le Washington Post du 15 mars 1983 :
"Un rapport de la National Science Foundation décrit la mort ou la fuite des 17 millions d'oiseaux que compte l'archipel des Christmas Islands."

La destruction d'une population entière d'oiseaux est la plus importante du genre et la première dans une région tropicale", constate le Dr. Ralph W. Schreiber, conservateur ornithologique du Natural Museum du comté de Los Angeles. "Cette catastrophe écologique pourrait avoir un rapport avec El Nino. Des 19 espèces qui peuplaient l'archipel, 18 ont disparu, dont l'hirondelle de mer grise, une sorte de mouette dont c'est la plus grande colonie sur terre. Les oiseaux ont fui l'archipel à l'automne, au moment où El Nino a pris toute sa puissance. Quelques oiseaux sont revenus, mais ils étaient complètement désorientés."

Le Washington Post du 25 août 1983 relate que le Dr. Schreiber revient d'un séjour dans l'archipel et qu'il a dénombré 100.000 oiseaux qui sont revenus sur les 17 millions. Certaines espèces ne sont pratiquement plus représentées et d'autres sont apparues à des périodes qui sont à l'opposé de leurs migrations habituelles.

Le New York Times du 12 juin 1983 :
"Il existe sans doute un lien entre l'apparition de millions de petits crabes rouges sur les côtes sud de la Californie et le phénomène "El Nino."

Les migrations des poissons sont désorganisées. Des pêcheurs ont trouvé certaines espèces de poissons à des endroits où il n'y en a habituellement pas, d'autres ont disparu là où on les attendait. Le journal publie une interview de chercheurs du Smithsonian Tropical Research Institute de Balboa, au Panama, le 8 août 1983 :
"Nous avons constaté la mort de coraux dans l'est du Pacifique, au Panama, aux îles Galapagos et en Colombie. Nous avons reçu des rapports sur la mort de coraux dans les îles de Polynésie et à l'ouest des Philippines."

La destruction d'organismes vivants correspond aux conclusions d'études scientifiques sur les effets nocifs des ondes à très basse fréquence. Les scientifiques ont découvert que beaucoup d'espèces de poissons et d'oiseaux possèdent un système interne composé de champ électromagnétique à faible puissance qui leur permet de s'orienter et de communiquer. Si des ondes magnétiques, comme celles générées par les champs ELF, viennent troubler ces systèmes naturels, elles désorganisent complètement le sens de l'orientation chez ces animaux. On peut trouver dans le livre d'Asher R. Sheppard et Merril Eisenbud, Les conséquences biologiques des champs électriques et magnétiques à très basse fréquence, paru en 1977 aux éditions New York University Press, une bibliographie complète de la littérature scientifique sur ce sujet.

Les deux auteurs sont membres de l'institut de l'Environnement du New York University Medical Center. Sheppard et Eisenbud déclarent :

"La conclusion que des champs électriques ou magnétiques à faible puissance peuvent influencer le système nerveux central s'appuie sur une série d'expériences précises effectuées sur des singes et des êtres humains. Des expériences in vitro montre qu'il existe une influence réciproque entre un champ magnétique ELF et l'équilibre ions-calcium. La plupart des 2500 espèces connues des coraux, de polypes omnivores et d'invertébrés marins produisent du carbonate de calcium. Il est probable que cette production de calcium a été perturbée par les ondes stationnaires ELF."

Les deux chercheurs expliquent :

"Après étude de la littérature scientifique, nous somme parvenus à la conclusion que des champs électriques ou magnétiques de faible puissance sont capables de faire apparaître des changements neurophysiologiques et des troubles du comportement. Ils agissent sur le comportement des oiseaux et poissons migrateurs et sont responsables de la perte d'orientation de ces animaux. Les résultats montrent que les champs électriques et magnétiques diminuent sensiblement les capacités des poussins et des mouettes à choisir la voie du milieu, une capacité qui leur est propre."

Il n'y a pas de doute sur le fait que ces résultats ont un lien avec ce qui s'est passé sur l'archipel.

Thomas Bearden

Il existe d'autres études sur la stratégie météorologique des russes. Thomas Bearden, lieutenant colonel de l'US Army, a tenu plusieurs conférences à ce sujet en 1979 et 1981. Il est un des meilleurs connaisseurs de la technologie soviétique. Il est l'auteur du livre La solution des secrets de Tesla et les armes Tesla de fabrication soviétique, ainsi que le livre The Excalibur Briefing. Bearden est Master of Science en physique nucléaire.
Dans sa conférence de 1981 qui porte le titre : L'élimination de Nikola Tesla, il expose les faits suivants :
"Quelques années avant Hertz, Tesla avait découvert ce que nous appelons les ondes hertziennes, mais peu après il a fait une autre découverte, plus importante à ses yeux, les ondes stationnaires, et il a négligé sa première découverte. Cette onde possède un potentiel de résistance de champ pur dans l'espace temps. Elle a un comportement bien particulier."

Bearden remarque que beaucoup de scientifiques ne comprennent pas comment les russes ont réussi à influencer le climat avec leurs ondes ELF. "C'est qu'ils ne connaissent pas la différence entre une onde de Hertz et une onde de Tesla", bien que Tesla l'ait formulé clairement à plusieurs reprises dans ses écrits scientifiques et ses brevets.

Bearden :
"Tesla savait qu'il pouvait créer des ondes stationnaires avec ce type de champ. Plus exactement, il savait les diriger vers le noyau de la Terre ou vers l'ionosphère. Si on envoie une onde stationnaire à travers la Terre, à travers le noyau en fusion, l'énergie tellurique ajoute du potentiel à cette onde et on obtient une onde avec un potentiel d'énergie plus élevé qu'à la source. C'est ce que Tesla appelle son "émetteur amplifié."

Bearden décrit le fonctionnement de ces émetteurs :

"Ils transpercent tout. On lance une onde stationnaire, le noyau de la terre en fusion alimente cette onde en énergie et on obtient une triode qui joue le rôle d'amplificateur."

C'est donc le noyau de la Terre en fusion qui décuple l'énergie. Ensuite, on varie la fréquence dans une direction, l'onde se déphase, l'énergie se déplace vers le foyer que l'on a déterminé, de l'autre côté de la Terre. L'air commence à s'ioniser. C'est le début d'une manipulation du climat.

Un léger déplacement de l'onde peut provoquer une perturbation climatique décisive. C'est une gigantesque machine météorologique. Si le déplacement s'effectue plus rapidement, la faible ionisation n'apparaît pas, on obtient par contre des éclairs et des boules de feu qui retombent sur la surface de la Terre. Bearden explique que c'est ce qui s'est produit au cours de la petite explosion nucléaire dans l'Océan Indien il y a quelques années et au large des côtes atlantiques des USA à la fin de l'année 1970. Les scientifiques n'ont trouvé aucune trace radioactive.

Si on dirige la fréquence vers le noyau de la Terre en va et vient, elle se décharge dans le manteau terrestre et non dans l'atmosphère. En induisant de l'énergie électrique on obtient de l'énergie mécanique et un "stress" géophysique. Une faille tellurique se crée et on assiste à un tremblement de terre ordinaire.
En agissant trop rapidement, l'énergie se décharge dans le manteau terrestre de façon abrupte.

Qu'il y ait déjà une faille ou non ne change rien. La roche est broyée et pulvérisée, c'est la signature.
L'origine du tremblement de terre peut être identifiée sans aucune hésitation. Ces explosions se produisent également dans l'atmosphère.

C'est ainsi qu'on a pu identifié clairement les agissements des soviétiques quand ils ont commencé à quadriller systématiquement l'Amérique du Nord.

Il est dons possible de provoquer des tremblements de terre. Il ne serait donc pas difficile d'en tirer de l'énergie, ce qui était le but essentiel de Tesla. L'hiver 1983/1984 a été instructif. On a identifié les caractéristiques classiques de trois formations de nuages.
1. Un motif qui ressemble à un champ labouré, les nuages forment des lignes droites qui s'étendent d'un côté de l'horizon à l'autre. Un exemple frappant de cette formation a été observé par Thomas Bearden au-dessus de Huntsville, Alabama.

2. Une gigantesque radiale, avec formation d'un cercle formé pour deux tiers de nuages et dont le rayon est de 4 à 5 kms. A l'extérieur du cercle se forment de longues lignes de nuages en rayons dont le foyer est le centre de la radiale. Ces lignes fines et droites peuvent atteindre de 20 à 25 kms. Il est frappant de voir ces immenses lignes nuageuses comme aimantées et contrôlées par la gigantesque radiale. Cette radiale ressemble étonnement au vieux symbole japonais de la deuxième guerre mondiale, le soleil levant. Thomas Bearden a été témoin de ces formations météorologiques en Floride, en Alabama, en Californie et à bord d'un avion à l'ouest de Memphis, Tennessee. Un agriculteur de l'Iowa témoigne avoir souvent vu ces formations au-dessus de son ranch, à chaque fois les animaux étaient terriblement effrayés.

3. Un motif avec une double radiale gigantesque, deux énormes rayons collés l'un à l'autre. Cette fois il n'y a plus de cercle intérieur, les rayons de nuages projetés en étoile sont trois fois plus gros et ils se touchent à leur extrémité intérieure. En l'espace d'une année on a mesuré aux USA les plus hautes et les plus basses pressions atmosphèriques connues. Ce n'est pas un hasard!

L'effet Bohm-Aharonov (BA)

Voici quelques explications sur les concepts fondamentaux de la théorie électromagnétique des ondes stationnaires. Il existe, depuis 25 ans, de la littérature sur ces mécanismes qui ont été prouvés de façon expérimentale. Les effets de ces mécanismes apparaissent également en présence de champs magnétiques et électriques nuls. Voilà pourquoi on ne les trouve pas dans la théorie électromagnétique classique. Bohm-Aharonov, c'est ainsi que l'on appelle les effets de ces ondes, d'après l'effet Bohm-Aharonov, connu dans la physique quantique (quanta : échanges d'énergie entre la matière et le rayonnement, mais d'une manière discontinue, par quanta).

En 1959, les premiers travaux sur ce sujet ont été publiés par deux scientifiques, Aharonov et Bohm. Peu après, en 1960, Chambers en publia les preuves expérimentales. Il y a eu par la suite d'autres recherches, mais dans l'ensemble le courant majoritaire des scientifiques ignore tout de cet effet. Il est indispensable pour la mécanique quantique, mais les scientifiques occidentaux ignorent tout des effets de champs nuls. A part les conférences de Thomas Bearden, il n'existe aucune littérature sur les applications militaires de l'effet Bohm-Aharonov. Il est compréhensible que les services secrets n'aient pas eu connaissance de ces effets et de leurs conséquences. Ils ne disposent pas non plus de documentations sur les développements d'armes soviétiques à partir de ces ondes.

Par interférence de deux rayons stationnaires, on obtient un interféromètre. Il est possible de produire de l'énergie au point d'interférence et d'en soutirer à distance de n'importe quel point du rayon. Il n'y a en principe pas d'énergie électromagnétique dans l'espace qui sépare l'émetteur et la cible. Cela correspond bien au principe de Tesla de la transmission d'énergie à distance sans pertes. L'interférométrie stationnaire, voilà son secret.

Il est possible de créer un potentiel artificiel en exposant les champs électriques ou magnétiques à une résistance, de telle façon que leur somme vectorielle soit nulle. Le résultat est un champ vectoriel nul pour tout observateur extérieur. Ce champ n'a pas de propriétés électriques ou magnétiques, il dispose par contre d'une sous-structure à champs multiples.

En variant les composants vectoriels pour arriver à une résultante de somme nulle, on obtient une onde de potentiel stationnaire pure, une onde de stress dans le temps. En l'alimentant avec de l'énergie à un point d'interférence éloigné, par exemple au-dessus des USA, il se forme une zone de haute pression autour de la cible.

En soustrayant de l'énergie au point d'interférence, il se crée une zone de basse pression. Il suffit de mettre en rotation les émetteurs, et les zones de basse et haute pression se mettent en mouvement et commencent à se déplacer. Tout cela permet d'envelopper des zones nuageuses et de les faire évoluer dans la direction choisie. On peut donc manipuler et influencer le climat en créant des zones de haute ou basse pression, à tout endroit voulu. On influe ainsi sur les vents et courants de la haute atmosphère, les Jet Stream.

Il existe beaucoup de preuves concernant ces expériences russes d'armes électromagnétiques. El Nino de 1983 n'est pas le seul exemple. On a enregistré à plusieurs reprises des changements de températures abruptes à des endroits précis. 78 cas ont été répertoriés depuis 1974. En 1984, le 9 avril, on a enregistré un cas similaire en mer, à 200 kms au large de Tokyo.

Le silence des médias

Nous trouvons peu de trace de ces événements dans les médias. Il y a eu des reportages à la télévision canadienne sur l'activité des soviétiques dans la guerre météorologique, mais dans les médias américains on ne trouve rien.

En voici quelques raisons : Thomas Bearden pense que le gouvernement US est infiltré par des taupes russes, dont le but est d'éviter toute propagation de ce type de technologie aux USA. Ces taupes sont très efficaces, même si elles n'interviennent pas directement. Elles se contentent de tirer les ficelles des lobbies de contrôle scientifique et les scientifiques réagissent comme des marionnettes en disant : "Ce ne sont que des absurdités, de la pseudoscience, n'écoutez pas ces sorciers et ces charlatans." Si quelqu'un tente de lever la tête, on fait tout pour le briser, on l'aplatit comme une punaise.

Andrei Sakharov, physicien et dissident soviétique, plusieurs fois Prix Nobel de physique , père de la MHD soviétique (Magnétohydrodynamique) note du C.A.R.L, père de la bombe H, déclare au Washington Post du 2 juillet 1982 :

"La propagande prosoviétique à l'ouest est une arme efficace depuis de nombreuses années. Le but est clair. Beaucoup de personnes à des positions clé ont des comportements favorables aux soviétiques, particulièrement dans les médias."

Tout a pourtant commencé il y a un siècle seulement, avec Nikola Tesla, ce génie de l'électricité. La plupart des gens ignorent que c'est en partie aux réalisations de cet homme qu'ils doivent leur niveau de vie et le développement économique que nous connaissons. L'utilisation du courant alternatif à grande échelle, une de ses réalisations, a été décisif pour l'essor industriel.
Mais le fait de développer des machines capables de produire de l'énergie de façon intensive en la mettant librement à la disposition de tout un chacun, a été le début de sa chute, de sa ruine. C'est Thomas Edison, son concurrent de toujours, qui a profité de toute l'attention, budgétaire et publique.

"Après seize années de travail épuisant et après avoir investi de ma poche plus de 100.000 $" dit Tesla, "aucune université conventionnelle, pas un groupe de recherches scientifiques, pas une fondation, personne ne m'a aidé."

C'est peut-être le signe que les travaux de Tesla ont été dissimulé de façon intentionnelle aux USA. Les Russes par contre, les ont développés, voilà pourquoi nous en profitons aujourd'hui.

Bearden raconte :

" Tesla a commencé à utiliser une nouvelle forme d'onde électrique au début du siècle dernier. Il a suffisamment expliqué qu'elle n'est pas semblable à l'onde hertzienne. On peut donc imaginer que sa découverte a été si fondamentale (pouvoir créer de l'énergie libre pour tout le monde, à moindre frais), qu'elle a volontairement été mise à l'écart."

Tesla a été isolé, son nom a peu à peu disparu des livres d'histoire et de physique.

A partir de ce moment-là Tesla a vécu retiré, faisant de temps à autre des apparitions publiques pour annoncer des découvertes, notamment celle d'une arme que nous appellerons le bouclier de Tesla, capable de créer un mur défensif infranchissable, ce qui rendrait  les guerres superflues.
L'actuel président des Etats-Unis George W. Bush, en a parlé à plusieurs reprises, du bouclier anti-missiles. Note du C.A.R.L.

Ces découvertes ont été d'un grand intérêt pour l'URSS dont les ingénieurs ont su en tirer profit. En y associant de la technologie américaine, ils sont parvenus à installer deux gigantesques stations émettrices d'ondes à très basse fréquence

Aux USA la puissance d'émission radio la plus forte est celle des radio commerciales, de l'ordre de 50.000 KW, la Voice of America émet souvent à des puissances de 100.000 KW. Ce n'est rien par rapport aux 40 millions de KW utilisés par les émetteurs russes.

Une autre des inventions secrètes de Tesla est l'utilisation de fréquences encore plus basses, quelques Hertz. Ces fréquences se rapprochent dangereusement de celles auxquelles vibrent notre cerveau. Pour les êtres humains, c'est une réelle menace.

La US Psychotronics Association a publié une série de conférences passionnantes sur les conséquences des émissions d'ondes ELF qui permettent de contrôler le mental et qui peuvent créer des rayons de la mort ; Le lientenant colonel Thomas Bearden explique que l'URSS dispose de deux grands instituts qui ont pratiqué plus de 5000 expériences sur les transmissions de maladies et les différentes façons de donner la mort. Bearden prétend que si l'on dispose d'une méthode pour introduire ces informations dans un signal électromagnétique, on détient une structure efficace pour propager des maladies ou même donner la mort.

Il existe aussi des formes de bulles, remplies d'énergie électromagnétique, qu'on peut diriger sur des positions précises et dont l'utilisation est tenue secrète pour des raisons militaires.

Le Dr. Michrowski, de PACE, pense que si les russes arrivaient à créer une onde stationnaire à un carrefour d'une grande ville américaine, comme New York, cela créerait un immense chaos. Les moteurs des voitures s'arrêteraient, les émetteurs exploseraient, les ordinateurs aussi, il n'y aurait plus d'électricité. Les effets psychologiques seraient imprévisibles

Le bouclier est une adaptation de ces formations de bulles. Placé au-dessus d'une ville ou d'une zone précise, il empêche de façon magnétique toute intrusion ennemie. IL n'y a rien qui puisse transpercer ce bouclier, c'est la qualité qu'on lui prête.

Si l'on accepte le concept de la conspiration mondiale, on peut penser que s'il existe une puissance qui domine les USA et les Russes, et que son but est de les mettre au même niveau pour créer une nouvel ordre mondial, Nikola Tesla en est le meilleur outil. Il suffit de favoriser le développement de ces découvertes en Russie et de l'empêcher aux USA.

C'est ce qui s'est vraiment passé. Les USA ont même aidé les russes en leur fournissant des générateurs, de l'équipement technologique, puis ils ont assisté à la réalisation de ces armes. Ce n'est qu'en 1977 que des recherches ont été entreprises pour comprendre ce qui s'était passé et combler le déficit de connaissances.
L'analogie avec la course dans l'espace est frappante. Tout le monde se souvient que les Américains et les Russes ont organisé des vols en commun dans l'espace. Ce qui ne les empêche pas d'être en compétition dans d'autres domaines.

Zbigniew Brzezinski, ministre des affaires étrangères sous le président Reagan, a rompu la glace dans son livre Entre deux époques, dont voici un extrait :

"La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance.

"Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l'espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs."

Les USA ont commencé leurs propres transmissions d'ondes à très basse fréquence. Dans un communiqué de PACE de 1980 on peut lire :
"Nous entamons un nouveau chapitre de l'histoire des rayons ELF. Le gouvernement américain et l'URSS collaborent dans l'émission de signaux ELF."

Malgré tout, ils continuent à rivaliser. Les USA utilise des fréquences différentes et en interférant, agissent contre les émissions russes. Ce qui s'est passé dans certaines parties du monde est le résultat de cette compétition, la collision des cycles américains et russes. Ainsi a commencé la guerre météorologique. Les conséquences en sont visibles. Rien n'a été publié au sujet d'autres conséquences qu'elle a pu engendrer. Les chercheurs de PACE : "La combinaison de signaux magnétiques ELF de grande intensité est capable de provoquer des effets qu'on ne peut encore déceler à l'heure actuelle."

Le biographe de Tesla, John J. O'Neill écrit :

" Tesla a travaillé comme un damné pour aider à la paix dans le monde. Il a contribué à faciliter la vie sur terre, il a entrouvert les portes d'une nouvelle ère de richesse et de bien-être pour l'humanité."

Malgré tout, la plupart de ses brevets ont été utilisés à des fins militaires. Le brevet qui porte le numéro 787.412, du 18 avril 1905, continuera à occuper les scientifiques pendant longtemps.

On peut y lire la phrase suivante :

"Notre planéte se comporte comme un conducteur lisse et poli, de faible résistance, dont la capacité et l'auto-induction sont répartie uniformément le long de l'axe de symétrie et qui transmet des vibrations électriques sans distorsion nuisible. Si on envoie deux oscillations de longueurs d'ondes différentes à travers la Terre, il est possible de créer peu à peu une onde stationnaire qui gravite lentement autour du globe, une arme qui pourrait être d'une efficacité formidable. Si on dispose plusieurs générateurs à différents endroits du globe, il devient possible de partager la Terre en différentes zones d'activité électrique."

Qui manipule qui?

L'opinion publique américaine commence à avoir de réelles suspicions quant à l'origine de ces catastrophes à répétition. Les différents organes gouvernementaux tentent de faire croire à un effet de serre qui induirait des changements climatiques.
La commission pour l'environnement (EPA) a publié un rapport fantastique qui est censé préparer l'opinion aux changements catastrophiques des structures météorologiques dans toute l'Amérique.

Selon EPA, on attend pour le début du prochain millénaire des changements décisifs, et "nous vivrons avec", dit le New York Times du 18 octobre 1983. La dioxyde de carbone aura tôt fait d'accélérer la chute de l'agriculture et le réchauffement des zones polaires, ce qui conduira fatalement à des inondations monstres, sans doute l'immersion des régions côtières.

Tout cela fait également partie de la stratégie des russes, depuis que Lénine a amorcé la recherche sur la fonte des glaces pour réchauffer la Sibérie et y développer des cultures.

Le rapport d'EPA ne mentionne à aucun moment le mécanisme de verrouillage du climat avec des ondes ELF et les déplacements des Jet Stream. Il se contente de nous manipuler en nous faisant croire que ce sont les émissions de dioxyde de carbone dans l'atmosphère qui sont à l'origine des changements climatiques abrupts.

L'effet de serre n'est pas un phénomène récent. C'est un processus qui a commencé avec les premiers feux de l'homme préhistorique, la combustion de matières fossiles. Il augmente régulièrement depuis des siècles que l'homme brûle toutes sortes de matériaux. Les changements climatiques sont apparus brutalement, depuis que les russes ont commencé leurs expériences d'ondes ELF.

Tous les médias parlent de force majeure. Mais il n'y a pas qu'eux. Le gouvernement américain, en accord avec les lobbies de l'écologie, a édité un livre de 1500 pages sur les conséquences incontournables de la catastrophe qui s'annonce, Global 2000. Il mentionne les prévisions globales des vingt années à venir : on parle d'une nouvelle administration qui supervisera toutes les connaissances. Mais on a volontairement occulté les interventions humaines dans cette analyse. Le but est clair : manipulation, dissimulation. On veut nous cacher la vérité.

Nous devons nous défendre, essayer de raisonner, de comprendre comment fonctionne le monde. Ne croyez pas tout ce que vous lisez. L'obéissance aveugle envers toute autorité est le premier pas vers la soumission. C'est vous qui assumez votre propre survie. Le monde vous regarde, il est ce que vous en faites. Chaque instant est un combat pour l'éveil, pour la liberté. Beaucoup veulent vous l'enlever, personne ne vous en fera cadeau.
 
 

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